Le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné Nabagné, a indiqué, mercredi, que dans le conflit maritime opposant la Côte d’Ivoire au Ghana, le gouvernement a entrepris de porter plainte pour "sauvegarder" et "préserver ses droits et intérêts.
Selon le ministre Bruno Koné qui livrait les conclusions de la réunion hebdomadaire du Conseil des ministres, mercredi au palais de la Présidence, la Côte d’Ivoire était dans une logique de négociation interrompue unilatéralement par le Ghana, contraignant le gouvernement à porter plainte à l’instar de la partie ghanéenne.
"Nous étions en négociation avec la partie ghanéenne, les négociations ont été rompues unilatéralement par le Ghana qui, comme vous le savez, a introduit une requête en arbitrage international sans consultation et sans accord avec la partie ivoirienne", a fait savoir le porte-parole du gouvernement.
Il a ajouté que la Côte d’Ivoire a décidé de porter plainte à son tour et surtout s’organiser pour faire face à l’ensemble des procédures qui vont concerner le règlement de ce différend, dans le but de sauvegarder et préserver ses droits.
"Nous nous organisons pour faire prévaloir les intérêts de notre pays", a insisté le ministre de la Poste et des TIC.
Le Ghana a demandé une notification d’arbitrage avec la Côte d’Ivoire, conformément aux dispositions de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (CNUDM), selon le quotidien ghanéen Daily public Graphic.
Le Ghana a déposé sa plainte en se basant sur l’article 287 de l’annexe VII de la Convention de 1982, a poursuivi le journal.
Gak/kp
Selon le ministre Bruno Koné qui livrait les conclusions de la réunion hebdomadaire du Conseil des ministres, mercredi au palais de la Présidence, la Côte d’Ivoire était dans une logique de négociation interrompue unilatéralement par le Ghana, contraignant le gouvernement à porter plainte à l’instar de la partie ghanéenne.
"Nous étions en négociation avec la partie ghanéenne, les négociations ont été rompues unilatéralement par le Ghana qui, comme vous le savez, a introduit une requête en arbitrage international sans consultation et sans accord avec la partie ivoirienne", a fait savoir le porte-parole du gouvernement.
Il a ajouté que la Côte d’Ivoire a décidé de porter plainte à son tour et surtout s’organiser pour faire face à l’ensemble des procédures qui vont concerner le règlement de ce différend, dans le but de sauvegarder et préserver ses droits.
"Nous nous organisons pour faire prévaloir les intérêts de notre pays", a insisté le ministre de la Poste et des TIC.
Le Ghana a demandé une notification d’arbitrage avec la Côte d’Ivoire, conformément aux dispositions de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (CNUDM), selon le quotidien ghanéen Daily public Graphic.
Le Ghana a déposé sa plainte en se basant sur l’article 287 de l’annexe VII de la Convention de 1982, a poursuivi le journal.
Gak/kp