Une menace de grève à l’horizon ! Le Mouvement des instituteurs pour la défense de leurs droits (MIDD) a promis au cours d’une assemblée générale samedi dernier, de se faire attendre si la question du solde des arriérés et la question relative à la situation administrative des enseignants dits adjoints ne trouve de solution.
Le Mouvement des instituteurs pour la défense de leurs droits (Midd), n’est pas du tout content. Au cours de l’Assemblée générale de rentrée 2014-2015, tenue, samedi 11 octobre dernier, à Abidjan au Plateau, son premier responsable, Mesmin Komoé l’a fait savoir au public. Ce dernier, sous une menace voilée, a interpellé les autorités. « Il s’agit aujourd’hui de revendiquer le solde des arriérés, de revenir sur la question des cotisations syndicales arrêtées de façon anormale et de prendre une position ferme sur la question relative à la situation administrative des enseignants dits adjoints. C’est une satisfaction sous réserve de ce qui reste à faire. S’il n’y a pas de réponse favorable, nous nous réservons le droit de toute action pour que l’autorité comprenne que si elle ne prend pas de mesures idoines, alors nous ne sommes pas sûrs de garantir la stabilité qu’aujourd’hui nous constatons au niveau du système éducatif », a-t-il indiqué. Le secrétaire général du Midd entend placer cette rentrée sous le signe de la "continuité" pour, selon lui, obtenir la satisfaction totale de leurs revendications encore latentes. Par ailleurs, le syndicaliste s’est félicité des efforts du Gouvernement à l’endroit des enseignants. Toutefois, il a demandé à l’Etat, un "ultime" effort dans la résolution des questions en suspens.
Paul Kouakou
Le Mouvement des instituteurs pour la défense de leurs droits (Midd), n’est pas du tout content. Au cours de l’Assemblée générale de rentrée 2014-2015, tenue, samedi 11 octobre dernier, à Abidjan au Plateau, son premier responsable, Mesmin Komoé l’a fait savoir au public. Ce dernier, sous une menace voilée, a interpellé les autorités. « Il s’agit aujourd’hui de revendiquer le solde des arriérés, de revenir sur la question des cotisations syndicales arrêtées de façon anormale et de prendre une position ferme sur la question relative à la situation administrative des enseignants dits adjoints. C’est une satisfaction sous réserve de ce qui reste à faire. S’il n’y a pas de réponse favorable, nous nous réservons le droit de toute action pour que l’autorité comprenne que si elle ne prend pas de mesures idoines, alors nous ne sommes pas sûrs de garantir la stabilité qu’aujourd’hui nous constatons au niveau du système éducatif », a-t-il indiqué. Le secrétaire général du Midd entend placer cette rentrée sous le signe de la "continuité" pour, selon lui, obtenir la satisfaction totale de leurs revendications encore latentes. Par ailleurs, le syndicaliste s’est félicité des efforts du Gouvernement à l’endroit des enseignants. Toutefois, il a demandé à l’Etat, un "ultime" effort dans la résolution des questions en suspens.
Paul Kouakou
