124L’Union africaine (UA) a appelé à davantage de soutien de ses États membres et partenaires sous forme de ressources humaines pour lutter contre l’ébola en Afrique de l’Ouest.
Lors d’une conférence de presse jeudi au siège de l’UA à Addis Abeba, capitale de l’Éthiopie, la présidente de la Commission de l’UA, Nkosazana Dlamini-Zuma, a déclaré que les infrastructures et les ressources humaines figuraient parmi les défis pressants que d –vait relever le bloc panafricain dans ses efforts de réponse à l’ épidémie d’ébola.
Le Liberia, la Sierra Leone et la Guinée sont les trois pays d’ Afrique de l’Ouest les plus affectés par l’ébola. L’UA a estimé que le problème était massif dans ces trois pays.
"Le défi pour lutter contre l’ébola réside principalement deux ou trois domaines. Le premier de ces domaines est celui des besoins en infrastructures, en centres de traitement et d’hôpitaux dans pratiquement tout l’ensemble de ces trois pays", a déclaré Mme Dlamini-Zuma.
Selon la présidente, des processus et des programmes ont été mis en place pour veiller aux infrastructures dans ces trois pays suite à l’engagement de la communauté internationale lors de la réunion récente de l’ONU.
Les ressources humaines sont le plus grand défi à relever pour faire face à cette épidémie, a ajouté la présidente.
Elle a souligné la nécessité de déployer davantage d’efforts pour mobiliser plus de ressources humaines en faveur de ces trois pays, où la menace est grave.
"Le second défi est celui des ressources humaines. La communauté internationale a promis des aides, mais peu de pays ont promis des ressources humaines, alors que, même si les infrastructures sont construites, nous aurons besoin d’hommes, de pratiquants de santé pour travailler dans ces hôpitaux et centres de traitement", a déclaré Mme Dlamini-Zuma.
"Nous avons environ 100 volontaires jusqu’à maintenant. Nous en cherchons plus. Nous recherchons plus de volontaires car ce sera un grand défi d’augmenter les ressources humaines existantes dans ces trois pays", a-t-elle dit.
La présidente a également déclaré que l’UA demandait à ses États membres de fournir chacun s’ils le peuvent environ 10 à 20 volontaires.
"Nous avons également écrit à nos États membres, à nos chefs d’ État pour voir si chaque pays peut nous donner un peu (de ressources humaines), pas beaucoup, peut-être 10 à 20 chacun", a-t- elle indiqué.
L’UA discute avec d’autres pays en dehors du continent pour chercher un soutien en termes de ressources humaines, a-t-elle également déclaré.
Dans ses efforts pour lutter contre l’épidémie, l’UA a déployé des volontaires au Liberia et en Sierra Leone.
Lors d’une conférence de presse jeudi au siège de l’UA à Addis Abeba, capitale de l’Éthiopie, la présidente de la Commission de l’UA, Nkosazana Dlamini-Zuma, a déclaré que les infrastructures et les ressources humaines figuraient parmi les défis pressants que d –vait relever le bloc panafricain dans ses efforts de réponse à l’ épidémie d’ébola.
Le Liberia, la Sierra Leone et la Guinée sont les trois pays d’ Afrique de l’Ouest les plus affectés par l’ébola. L’UA a estimé que le problème était massif dans ces trois pays.
"Le défi pour lutter contre l’ébola réside principalement deux ou trois domaines. Le premier de ces domaines est celui des besoins en infrastructures, en centres de traitement et d’hôpitaux dans pratiquement tout l’ensemble de ces trois pays", a déclaré Mme Dlamini-Zuma.
Selon la présidente, des processus et des programmes ont été mis en place pour veiller aux infrastructures dans ces trois pays suite à l’engagement de la communauté internationale lors de la réunion récente de l’ONU.
Les ressources humaines sont le plus grand défi à relever pour faire face à cette épidémie, a ajouté la présidente.
Elle a souligné la nécessité de déployer davantage d’efforts pour mobiliser plus de ressources humaines en faveur de ces trois pays, où la menace est grave.
"Le second défi est celui des ressources humaines. La communauté internationale a promis des aides, mais peu de pays ont promis des ressources humaines, alors que, même si les infrastructures sont construites, nous aurons besoin d’hommes, de pratiquants de santé pour travailler dans ces hôpitaux et centres de traitement", a déclaré Mme Dlamini-Zuma.
"Nous avons environ 100 volontaires jusqu’à maintenant. Nous en cherchons plus. Nous recherchons plus de volontaires car ce sera un grand défi d’augmenter les ressources humaines existantes dans ces trois pays", a-t-elle dit.
La présidente a également déclaré que l’UA demandait à ses États membres de fournir chacun s’ils le peuvent environ 10 à 20 volontaires.
"Nous avons également écrit à nos États membres, à nos chefs d’ État pour voir si chaque pays peut nous donner un peu (de ressources humaines), pas beaucoup, peut-être 10 à 20 chacun", a-t- elle indiqué.
L’UA discute avec d’autres pays en dehors du continent pour chercher un soutien en termes de ressources humaines, a-t-elle également déclaré.
Dans ses efforts pour lutter contre l’épidémie, l’UA a déployé des volontaires au Liberia et en Sierra Leone.