Des opposants et acteurs de la société civile du Burkina Faso résidant en Côte d'Ivoire ont annoncé samedi à Abidjan une série de manifestations dans les prochains jours à Abidjan, pour protester contre le projet de modification de la Constitution dans leur pays.
Le porte-parole de la coalition de représentants de l'opposition politique et de la société civile du Burkina Faso en Côte d'Ivoire, dénommée N 23, Pograwa Moumouni, a indiqué lors d'une conférence de presse qu'il s'agira de "manifestations pacifiques de protestation sans entraver aux libertés d'autrui", mais conformément au droit constitutionnel de leur pays.
"Les manifestations de protestation se dérouleront à partir du 8 novembre au sein de notre ambassade et consulat", a noté M. Moumouni.
A en croire le porte-parole du N 23, il s'agit de contribuer à éviter au Burkina Faso de sombrer dans une grave crise sociopolitique.
Le 21 octobre dernier, le président burkinabè Blaise Compaoré a signé un "décret portant projet de loi portant modification de l'article 37 qui limite le mandat du président de la République".
En cas d'adoption par l'Assemblée nationale, cette loi conduira à la tenue d'un référendum pour son adoption définitive.
Le porte-parole de la coalition de représentants de l'opposition politique et de la société civile du Burkina Faso en Côte d'Ivoire, dénommée N 23, Pograwa Moumouni, a indiqué lors d'une conférence de presse qu'il s'agira de "manifestations pacifiques de protestation sans entraver aux libertés d'autrui", mais conformément au droit constitutionnel de leur pays.
"Les manifestations de protestation se dérouleront à partir du 8 novembre au sein de notre ambassade et consulat", a noté M. Moumouni.
A en croire le porte-parole du N 23, il s'agit de contribuer à éviter au Burkina Faso de sombrer dans une grave crise sociopolitique.
Le 21 octobre dernier, le président burkinabè Blaise Compaoré a signé un "décret portant projet de loi portant modification de l'article 37 qui limite le mandat du président de la République".
En cas d'adoption par l'Assemblée nationale, cette loi conduira à la tenue d'un référendum pour son adoption définitive.