Toumodi - Depuis une semaine, le personnel du ministère de l’Education nationale et de l’Enseignement technique(MENET) de Toumodi qui a été invité à se faire enregistrer à CODIPOST rencontre des difficultés, a constaté l’AIP.
L'enregistrement à CODIPOST vise une gestion rationnelle des personnels du MENET. Appelés à se faire identifier, les agents de ce ministère éprouvent d'énormes difficultés, racontent-ils.
"Le Mercredi 15 octobre, la direction régionale de l’Education nationale et de l’Enseignement technique de Yamoussoukro a invité tous les chefs d'établissement et inspecteurs de l’enseignement primaire à se faire identifier avec leurs personnels, de façon électronique jusqu’à la date butoir du samedi", indiquent-ils.
"Malheureusement, les choses ne se déroulent pas comme prévu. A peine démarré, le site a été fermé pendant trois jours du samedi 18 au lundi 20 octobre pour cause de travaux", ont confié certains agents à l’AIP.
Depuis sa réouverture, a-t-on constaté, les gérants de cybers se plaignent de nombreux problèmes qu’ils rencontrent.
« Depuis ce mercredi matin jusqu'à 18h, c’est seulement une poignée de personnes (trois, quatre ou cinq) que j’ai pu enregistrer. Le site ne marche pas bien la journée, c’est seulement tard la nuit que nous arrivons à travailler mais là encore avec beaucoup de difficultés », ont révélé frustrés, des gérants de cybers.
Du côté des personnels du MENET même son de cloche "c’est un véritable calvaire que nous vivons. Depuis vendredi 17 octobre. C’est seulement hier mercredi 22 octobre à 22 heures que j’ai pu faire mon identification. Nous sommes en pleine année scolaire, obligés de déserter nos bureaux ou laisser les élèves en classe pour venir nous faire identifier vu l’urgence alors que notre ministère veut des résultats performants", a déploré un enseignant .
Ainsi la plupart des instituteurs qui ont profité du mercredi libre pour quitter leur localité reculée et venir en ville en vue de satisfaire aux exigences de la tutelle sont repartis insatisfaits.
Il y a aussi le dernier lot de mécontents qui n'a pas daigné approcher les cybercafés pour d’autres causes.
"On nous demande de fournir des documents que nous n’avons pas soit par ce qu’ils ont été détruits pendant la guerre ou bien n’ayant jamais été en notre possession. Alors que faire",a soutenu un enseignant inquiet.
gba/amak/ask
L'enregistrement à CODIPOST vise une gestion rationnelle des personnels du MENET. Appelés à se faire identifier, les agents de ce ministère éprouvent d'énormes difficultés, racontent-ils.
"Le Mercredi 15 octobre, la direction régionale de l’Education nationale et de l’Enseignement technique de Yamoussoukro a invité tous les chefs d'établissement et inspecteurs de l’enseignement primaire à se faire identifier avec leurs personnels, de façon électronique jusqu’à la date butoir du samedi", indiquent-ils.
"Malheureusement, les choses ne se déroulent pas comme prévu. A peine démarré, le site a été fermé pendant trois jours du samedi 18 au lundi 20 octobre pour cause de travaux", ont confié certains agents à l’AIP.
Depuis sa réouverture, a-t-on constaté, les gérants de cybers se plaignent de nombreux problèmes qu’ils rencontrent.
« Depuis ce mercredi matin jusqu'à 18h, c’est seulement une poignée de personnes (trois, quatre ou cinq) que j’ai pu enregistrer. Le site ne marche pas bien la journée, c’est seulement tard la nuit que nous arrivons à travailler mais là encore avec beaucoup de difficultés », ont révélé frustrés, des gérants de cybers.
Du côté des personnels du MENET même son de cloche "c’est un véritable calvaire que nous vivons. Depuis vendredi 17 octobre. C’est seulement hier mercredi 22 octobre à 22 heures que j’ai pu faire mon identification. Nous sommes en pleine année scolaire, obligés de déserter nos bureaux ou laisser les élèves en classe pour venir nous faire identifier vu l’urgence alors que notre ministère veut des résultats performants", a déploré un enseignant .
Ainsi la plupart des instituteurs qui ont profité du mercredi libre pour quitter leur localité reculée et venir en ville en vue de satisfaire aux exigences de la tutelle sont repartis insatisfaits.
Il y a aussi le dernier lot de mécontents qui n'a pas daigné approcher les cybercafés pour d’autres causes.
"On nous demande de fournir des documents que nous n’avons pas soit par ce qu’ils ont été détruits pendant la guerre ou bien n’ayant jamais été en notre possession. Alors que faire",a soutenu un enseignant inquiet.
gba/amak/ask