Le Greffier de la Cour pénale internationale (CPI), Herman von Hebel arrivé, mardi, à Abidjan où il discutera des questions liées au fonctionnement de cette juridiction internationale, a estimé qu’il revient à la ‘’défense de M. Gbagbo de demander sa présence aux obsèques de sa mère’’.
‘'En règle général, il appartient à son équipe de défense de présenter une demande visant à obtenir l'autorisation pour que M. Gbagbo pusse assister aux obsèques de sa mère'' a déclaré Herman von Hebel interrogé sur la question de savoir si ‘'Laurent Gbagbo sera-t-il autorisé à se rendre aux funérailles de sa mère?''.
Par la suite, a-t-il expliqué, ‘'les juges examineront la garantie pour la sécurité de M. Gbagbo et pour son retour à la CPI ainsi que pour tout autre élément pertinent et rendront leur décision''. Marguerite Gado, la mère de l'ancien chef d'Etat ivoirien, Laurent Gbagbo, en route pour Gagnoa, est décédée, mercredi 15 octobre dernier, à Yamoussoukro. Elle avait plus de 90 ans.
Depuis fin novembre 2011, Laurent Gbagbo est en prison à la Haye au Pays-Bas où il sera jugé en tant que coauteur indirect de crimes contre l'humanité commis pendant les violences post-électorales de décembre 2010 à avril 2011, ayant fait plus de 3000 morts.
‘'En règle général, il appartient à son équipe de défense de présenter une demande visant à obtenir l'autorisation pour que M. Gbagbo pusse assister aux obsèques de sa mère'' a déclaré Herman von Hebel interrogé sur la question de savoir si ‘'Laurent Gbagbo sera-t-il autorisé à se rendre aux funérailles de sa mère?''.
Par la suite, a-t-il expliqué, ‘'les juges examineront la garantie pour la sécurité de M. Gbagbo et pour son retour à la CPI ainsi que pour tout autre élément pertinent et rendront leur décision''. Marguerite Gado, la mère de l'ancien chef d'Etat ivoirien, Laurent Gbagbo, en route pour Gagnoa, est décédée, mercredi 15 octobre dernier, à Yamoussoukro. Elle avait plus de 90 ans.
Depuis fin novembre 2011, Laurent Gbagbo est en prison à la Haye au Pays-Bas où il sera jugé en tant que coauteur indirect de crimes contre l'humanité commis pendant les violences post-électorales de décembre 2010 à avril 2011, ayant fait plus de 3000 morts.