Abidjan - La première "conférence de mise en état" pour discuter des questions procédurales en vue de l'ouverture du procès de Laurent Gbagbo dans l’affaire l’opposant au procureur de la Cour pénale internationale (CPI) a ouvert ce mardi à la Haye.
L’ex-président ivoirien, accusé de crimes contre l’humanité, n'était pas présent à cette première conférence, a-t-on pu constater.
La Chambre de première instance de la CPI a ouvert deux audiences distinctes pour l’affaire Laurent Gbagbo contre le procureur Fatou Bensouda dans le cadre de cette conférence, rappelle-t-on.
La première discutera des questions de procédure en vue de l'ouverture du procès tandis que la deuxième s'inscrira dans la logique de réexamen périodique de la détention de l'accusé qui doit être effectué par les juges au moins une fois tous les 120 jours et au moins une fois par an lors d'une audience publique.
Le 12 juin dernier, la Chambre préliminaire I a confirmé, à la majorité, quatre charges de crimes contre l'humanité (meurtres, viols, autres actes inhumains ou–à titre subsidiaire– tentative de meurtre et persécution) à l'encontre de Laurent Gbagbo et a renvoyé l'affaire en procès devant la Chambre de première instance I.
kg/kkp/ask
L’ex-président ivoirien, accusé de crimes contre l’humanité, n'était pas présent à cette première conférence, a-t-on pu constater.
La Chambre de première instance de la CPI a ouvert deux audiences distinctes pour l’affaire Laurent Gbagbo contre le procureur Fatou Bensouda dans le cadre de cette conférence, rappelle-t-on.
La première discutera des questions de procédure en vue de l'ouverture du procès tandis que la deuxième s'inscrira dans la logique de réexamen périodique de la détention de l'accusé qui doit être effectué par les juges au moins une fois tous les 120 jours et au moins une fois par an lors d'une audience publique.
Le 12 juin dernier, la Chambre préliminaire I a confirmé, à la majorité, quatre charges de crimes contre l'humanité (meurtres, viols, autres actes inhumains ou–à titre subsidiaire– tentative de meurtre et persécution) à l'encontre de Laurent Gbagbo et a renvoyé l'affaire en procès devant la Chambre de première instance I.
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