Abidjan – Les écrivains ivoiriens Charles Nokan et Atita Hino ont respectivement été sacrés, mercredi, à l’ouverture du Salon international du livre d’Abidjan (SILA), lauréats du grand prix national de littérature et du prix du jeune espoir de la littérature ivoirienne.
Charles Nokan a été désigné pour son livre autobiographique "Tel que je suis" et Atita Hino, pour son œuvre "Le Grand Masque a menti", tous deux publiés aux éditions Nei-Ceda.
Le ministère de la Culture et de la Francophonie a initié, en marge du SILA 2014, deux prix pour encourager les écrivains nationaux, à savoir le grand prix national doté d’une enveloppe d’un million de francs CFA et le prix national du jeune espoir de la littérature de 500 000 F CFA.
Le prix du jeune écrivain vise à "susciter la création littéraire au plan national et à relever de nouveaux talents dans le domaine de la littérature". Le grand prix national de littérature ambitionne de "mettre à hauteur de lumière, les auteurs ayant un talent affirmé dans le domaine des belles lettres et de l’écriture".
Selon le jury, l’œuvre de Charles Nokan justifie d’une esthétique originale, en ce qui concerne le genre autobiographique, et d’un style alerte et riche qui le rendent agréable à lire. "L’écriture s’est enrôlée d’une langue et d’une énonciation qui lui donnent une senteur originale à l’effluve tantôt narrative, tantôt poétique", justifie-t-on.
L’œuvre d’Atita Hino, selon le jury, jette un éclairage sur la problématique des croyances et coutumes d’un village et réussit à accoler une intrigue bouleversante et une écriture riche, imagée et souvent poétique. "Le roman est doté d’un souffle admirable", conclut-on.
Pour la première édition de ces distinctions, 49 ouvrages ont été reçus pour le grand prix national et 21 pour le prix national du jeune espoir.
kkp/kam
Charles Nokan a été désigné pour son livre autobiographique "Tel que je suis" et Atita Hino, pour son œuvre "Le Grand Masque a menti", tous deux publiés aux éditions Nei-Ceda.
Le ministère de la Culture et de la Francophonie a initié, en marge du SILA 2014, deux prix pour encourager les écrivains nationaux, à savoir le grand prix national doté d’une enveloppe d’un million de francs CFA et le prix national du jeune espoir de la littérature de 500 000 F CFA.
Le prix du jeune écrivain vise à "susciter la création littéraire au plan national et à relever de nouveaux talents dans le domaine de la littérature". Le grand prix national de littérature ambitionne de "mettre à hauteur de lumière, les auteurs ayant un talent affirmé dans le domaine des belles lettres et de l’écriture".
Selon le jury, l’œuvre de Charles Nokan justifie d’une esthétique originale, en ce qui concerne le genre autobiographique, et d’un style alerte et riche qui le rendent agréable à lire. "L’écriture s’est enrôlée d’une langue et d’une énonciation qui lui donnent une senteur originale à l’effluve tantôt narrative, tantôt poétique", justifie-t-on.
L’œuvre d’Atita Hino, selon le jury, jette un éclairage sur la problématique des croyances et coutumes d’un village et réussit à accoler une intrigue bouleversante et une écriture riche, imagée et souvent poétique. "Le roman est doté d’un souffle admirable", conclut-on.
Pour la première édition de ces distinctions, 49 ouvrages ont été reçus pour le grand prix national et 21 pour le prix national du jeune espoir.
kkp/kam