Abidjan – Le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman, a invité, mercredi au Palais des sports de Treichville, les éditeurs ivoiriens à se lancer dans la production numérique du livre, pour assurer la survie de ce support qui doit être en phase avec la technologie.
"Chers professionnels du livre, nous ne devons pas être en marge des technologies qui nous ouvrent les portes du monde et des affaires. Se mettre en marge de ces technologies, c’est choisir d’affronter les mauvais vents et risquer sa perte. J’invite donc, avec force, nos éditeurs à opter pour la double édition : l’édition du livre papier et l’édition numérique", a-t-il lancé à l’ouverture du Salon international du livre d’Abidjan (SILA).
Selon lui, l’avenir du livre se joue dans cette double aventure du papier et du numérique. "Le livre d’aujourd’hui, c’est aussi le livre lancé dans les immenses capacités commerciales du numérique.
Le livre d’aujourd’hui, c’est aussi la tablette, la liseuse. Le livre d’aujourd’hui, c’est aussi le téléphone portable", soutient-il.
Il a également rassuré les éditeurs que son département ministériel étudie, avec la meilleure attention, la création d’un Fonds national pour soutenir la vie du livre.
Pour M. Bandaman, ce projet de loi viendra réglementer le secteur et mettre fin aux pratiques "saisonnières" qui le minent, tout en impulsant une véritable politique du livre.
"Au plan international, nous défendons le projet de création du Centre francophone du livre. Ce centre devrait corriger en partie les faiblesses constatées ici et là dans la mise en œuvre des politiques locales du livre", a-t-il conclu.
Ouvert mercredi, le SILA s’achève dimanche. Il sera ponctué par des dédicaces, des tables rondes, des formations, des forums littéraires et des ateliers.
kkp/kam
"Chers professionnels du livre, nous ne devons pas être en marge des technologies qui nous ouvrent les portes du monde et des affaires. Se mettre en marge de ces technologies, c’est choisir d’affronter les mauvais vents et risquer sa perte. J’invite donc, avec force, nos éditeurs à opter pour la double édition : l’édition du livre papier et l’édition numérique", a-t-il lancé à l’ouverture du Salon international du livre d’Abidjan (SILA).
Selon lui, l’avenir du livre se joue dans cette double aventure du papier et du numérique. "Le livre d’aujourd’hui, c’est aussi le livre lancé dans les immenses capacités commerciales du numérique.
Le livre d’aujourd’hui, c’est aussi la tablette, la liseuse. Le livre d’aujourd’hui, c’est aussi le téléphone portable", soutient-il.
Il a également rassuré les éditeurs que son département ministériel étudie, avec la meilleure attention, la création d’un Fonds national pour soutenir la vie du livre.
Pour M. Bandaman, ce projet de loi viendra réglementer le secteur et mettre fin aux pratiques "saisonnières" qui le minent, tout en impulsant une véritable politique du livre.
"Au plan international, nous défendons le projet de création du Centre francophone du livre. Ce centre devrait corriger en partie les faiblesses constatées ici et là dans la mise en œuvre des politiques locales du livre", a-t-il conclu.
Ouvert mercredi, le SILA s’achève dimanche. Il sera ponctué par des dédicaces, des tables rondes, des formations, des forums littéraires et des ateliers.
kkp/kam