Une opération de collecte de données sur les entreprises privées en Côte d’Ivoire a été lancée jeudi à Abidjan, en vue de capter les flux d’investissements dans le pays.
L’opération qui va durer un mois, d’un coût de 30 milliards FCFA, vise à "assurer la traçabilité des investissements privés en Côte d’Ivoire et des entreprises créées au guichet unique du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (Cepici)", a indiqué son directeur général, Emmanuel Esmel Essis.
"En clair, l’opération a pour objectif de capter les flux d’investissements privés globaux en Côte d’Ivoire, de réaliser les études d’impacts socio-économiques sur les investissements privés en Côte d’Ivoire et d’assurer le suivi-évaluation des entreprises créées au guichet unique", a-t-il précisé.
Un Comité national de suivi-évaluation des investissements privés en Côte d’Ivoire (CSIP) a été créé pour la collecte des données sur les entreprises privées installées dans le pays.
"Les résultats vont permettre au Cepici et au gouvernement ivoirien d’orienter leur politique et envisager des solutions à l’avenir", a ajouté le M. Essis.
L’opération qui va durer un mois, d’un coût de 30 milliards FCFA, vise à "assurer la traçabilité des investissements privés en Côte d’Ivoire et des entreprises créées au guichet unique du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (Cepici)", a indiqué son directeur général, Emmanuel Esmel Essis.
"En clair, l’opération a pour objectif de capter les flux d’investissements privés globaux en Côte d’Ivoire, de réaliser les études d’impacts socio-économiques sur les investissements privés en Côte d’Ivoire et d’assurer le suivi-évaluation des entreprises créées au guichet unique", a-t-il précisé.
Un Comité national de suivi-évaluation des investissements privés en Côte d’Ivoire (CSIP) a été créé pour la collecte des données sur les entreprises privées installées dans le pays.
"Les résultats vont permettre au Cepici et au gouvernement ivoirien d’orienter leur politique et envisager des solutions à l’avenir", a ajouté le M. Essis.