Bouaké - Le directeur de l’Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réintégration (ADDR), Fidèle Sarassoro, estime que la resocialisation des ex-combattants est une innovation qui, sur le long terme, fera la différence dans le DDR en Côte d’Ivoire.
" Je voudrais vous inviter à visiter nos centres de resocialisation. Je pense que c’est une innovation et je pense personnellement que c’est ce qui va faire la différence dans le long terme dans le DDR en Côte d’Ivoire", a indiqué, mercredi à Abidjan, Fidèle Sarassoro, livrant les conclusions des échanges sur le DDR à l’occasion d’un séminaire international ouvert la veille.
Selon lui, il était important de faire cohabiter des ex-combattants qui, dans un passé pas trop lointain, étaient des ennemis.
Se félicitant des échanges fructueux qui ont découlé de la première étape de ce séminaire qui doit se poursuivre jeudi à Bouaké, il a mis en relief la volonté d’aller de l’avant pour réussir le processus, en dépit des difficultés.
" Le DDR n’est pas linéaire. Il y a des hauts et des bas. Ce qui est le plus important, c’est la volonté d’aller de l’avant", a-t-il exprimé.
Lui emboîtant le pas, l’ambassadeur du Canada en Côte d’Ivoire, Chantal de Varennes, a insisté sur l’importance de l’appropriation du processus au niveau national et de la resocialisation qui, selon elle, s’est avérée nécessaire.
" J’ai eu l’occasion d’observer l’évolution du programme DDR en Côte d’Ivoire. Ce qui m’a frappé, c’est la capacité du directeur à adapter le programme à la réalité du terrain. Le volet de resocialisation s’est avéré nécessaire, en plus de votre capacité à être à l’écoute des ex-combattants", a-t-elle signifié.
Dans l’élan de ce séminaire, le site de resocialisation appelé "disciplinekro" recevra, jeudi à Bouaké, la visite des participants, souligne-t-on.
gak/kkp/kam
" Je voudrais vous inviter à visiter nos centres de resocialisation. Je pense que c’est une innovation et je pense personnellement que c’est ce qui va faire la différence dans le long terme dans le DDR en Côte d’Ivoire", a indiqué, mercredi à Abidjan, Fidèle Sarassoro, livrant les conclusions des échanges sur le DDR à l’occasion d’un séminaire international ouvert la veille.
Selon lui, il était important de faire cohabiter des ex-combattants qui, dans un passé pas trop lointain, étaient des ennemis.
Se félicitant des échanges fructueux qui ont découlé de la première étape de ce séminaire qui doit se poursuivre jeudi à Bouaké, il a mis en relief la volonté d’aller de l’avant pour réussir le processus, en dépit des difficultés.
" Le DDR n’est pas linéaire. Il y a des hauts et des bas. Ce qui est le plus important, c’est la volonté d’aller de l’avant", a-t-il exprimé.
Lui emboîtant le pas, l’ambassadeur du Canada en Côte d’Ivoire, Chantal de Varennes, a insisté sur l’importance de l’appropriation du processus au niveau national et de la resocialisation qui, selon elle, s’est avérée nécessaire.
" J’ai eu l’occasion d’observer l’évolution du programme DDR en Côte d’Ivoire. Ce qui m’a frappé, c’est la capacité du directeur à adapter le programme à la réalité du terrain. Le volet de resocialisation s’est avéré nécessaire, en plus de votre capacité à être à l’écoute des ex-combattants", a-t-elle signifié.
Dans l’élan de ce séminaire, le site de resocialisation appelé "disciplinekro" recevra, jeudi à Bouaké, la visite des participants, souligne-t-on.
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