Bouaké - L’Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réintégration (ADDR) a, par le truchement de son directeur général, Fidèle Sarassoro, annoncé la fin du processus de désarmement, démobilisation et réintégration (DDR) des ex-combattants pour le mois de juin 2015.
Selon M. Sarassoro, l’environnement on ne peut plus favorable en Côte d’Ivoire, appuyé par les partenaires techniques et financiers, laisse espérer que le processus puisse arriver à son terme à la fin juin 2015.
"Je pense qu’au regard de l’environnement qu’il y a, au regard de la détermination qu’il y a, au regard de la volonté politique qu’il y a, au regard du soutien technique et financier des partenaires, il n’y a pas de raison que nous ne puissions pas atteindre cette date-là", a indiqué le directeur de l’ADDR, jeudi, après une visite de terrain à Bouaké.
"Il y aura certainement un besoin de soutien après le DDR et c’est pour cela qu’au cours de ce séminaire, nous avons convenu avec nos partenaires que, dès à présent, on puisse s’asseoir pour commencer à réfléchir sur les modalités de l’après-DDR", a-t-il renchéri.
Dans la foulée, l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, Georges Serre, s’est félicité de l’avancée considérable du processus DDR en Côte d’Ivoire, mettant en relief son optimisme quant à la réintégration du dernier ex-combattant à la date susmentionnée.
"Le DDR de Côte d’Ivoire est évidemment assez avancé et il y a des résultats très concrets. Quand on parle de la date de juin 2015, cela est possible puisque aujourd’hui, plus de 40 000 personnes ont été traitées. Vous voyez bien qu’il n’y a pas de raison que le processus ne soit pas atteint", a relevé le diplomate français.
Pour un objectif de planification de 74 068 ex-combattants, quelque 44 493 ont été réinsérés à la date du 03 novembre, précise-t-on.
gak/kkp/kam
Selon M. Sarassoro, l’environnement on ne peut plus favorable en Côte d’Ivoire, appuyé par les partenaires techniques et financiers, laisse espérer que le processus puisse arriver à son terme à la fin juin 2015.
"Je pense qu’au regard de l’environnement qu’il y a, au regard de la détermination qu’il y a, au regard de la volonté politique qu’il y a, au regard du soutien technique et financier des partenaires, il n’y a pas de raison que nous ne puissions pas atteindre cette date-là", a indiqué le directeur de l’ADDR, jeudi, après une visite de terrain à Bouaké.
"Il y aura certainement un besoin de soutien après le DDR et c’est pour cela qu’au cours de ce séminaire, nous avons convenu avec nos partenaires que, dès à présent, on puisse s’asseoir pour commencer à réfléchir sur les modalités de l’après-DDR", a-t-il renchéri.
Dans la foulée, l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, Georges Serre, s’est félicité de l’avancée considérable du processus DDR en Côte d’Ivoire, mettant en relief son optimisme quant à la réintégration du dernier ex-combattant à la date susmentionnée.
"Le DDR de Côte d’Ivoire est évidemment assez avancé et il y a des résultats très concrets. Quand on parle de la date de juin 2015, cela est possible puisque aujourd’hui, plus de 40 000 personnes ont été traitées. Vous voyez bien qu’il n’y a pas de raison que le processus ne soit pas atteint", a relevé le diplomate français.
Pour un objectif de planification de 74 068 ex-combattants, quelque 44 493 ont été réinsérés à la date du 03 novembre, précise-t-on.
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