La deuxième édition du salon international de la géomatique dénommé « Géomatique 2014 » s’est ouvert mardi 18 novembre pour trois jours, à l’auditorium de la CAISTAB. Placée sous le thème « la géo-information, outil de planification et de bonne gouvernance au service du développement local », ce salon se veut, de l’avis de son commissaire général, Dr Fon Gbéi Edouard, directeur général du Centre national d télédétection et d’information géographique(CNTIG), une invitation à la réflexion et à l’action autour de la question du développement local.
Selon lui, cette rencontre pourrait être bénéfique à de nombreux gouvernements locaux confrontés à de nombreux défis, parmi lesquels la mobilisation des ressources propres, l’accès équitable à l’éducation, la lutte contre la pauvreté, etc.
Dans la mesure, où justifie-t-il, les moyens technologiques que la géomatique permet de déployer pour une géo-information de qualité peuvent aider endiguer les freins au développement, dans la droite ligne de la volonté manifeste du Gouvernement de lutter contre les disparités régionales.
Abondant dans le même sens que le directeur général du CNTIG, le ministre de la Poste et des TIC, Bruno Nabagné Koné a soutenu que les TIC pouvaient améliorer la gouvernance des villes et des régions.
« Il faut comprendre les TIC de façon à les déployer pour en faire des leviers de développement », a plaidé le ministre de la Poste et des TIC. Non sans ajouter que « nous croyons fortement aux capacités de transformation des TIC ».
Il voit donc dans cette deuxième édition du salon de la Géomatique, l’opportunité pour les élus locaux et les experts d’échanger sur les problématiques de développement local.
600 participants prennent part à cette édition. Pendant les trois jours du salon, 30 stands d’exposition sont ouverts aux visiteurs qui pourront également suivre des conférences animées par 30 conférenciers venus d douze (12) pays.
Selon lui, cette rencontre pourrait être bénéfique à de nombreux gouvernements locaux confrontés à de nombreux défis, parmi lesquels la mobilisation des ressources propres, l’accès équitable à l’éducation, la lutte contre la pauvreté, etc.
Dans la mesure, où justifie-t-il, les moyens technologiques que la géomatique permet de déployer pour une géo-information de qualité peuvent aider endiguer les freins au développement, dans la droite ligne de la volonté manifeste du Gouvernement de lutter contre les disparités régionales.
Abondant dans le même sens que le directeur général du CNTIG, le ministre de la Poste et des TIC, Bruno Nabagné Koné a soutenu que les TIC pouvaient améliorer la gouvernance des villes et des régions.
« Il faut comprendre les TIC de façon à les déployer pour en faire des leviers de développement », a plaidé le ministre de la Poste et des TIC. Non sans ajouter que « nous croyons fortement aux capacités de transformation des TIC ».
Il voit donc dans cette deuxième édition du salon de la Géomatique, l’opportunité pour les élus locaux et les experts d’échanger sur les problématiques de développement local.
600 participants prennent part à cette édition. Pendant les trois jours du salon, 30 stands d’exposition sont ouverts aux visiteurs qui pourront également suivre des conférences animées par 30 conférenciers venus d douze (12) pays.