Les militaires ont regagné leurs casernes et le calme est revenu mercredi dans les rues d'Abidjan et de certaines villes de l'intérieur du pays perturbées mardi par un mouvement de revendication de soldes.
A Abidjan, a constaté un journaliste de Xinhua, aucune entrave à la circulation n'était perceptible à part les bouchons habituels, les commerces étaient ouverts et les usagers se ruaient sur les taxis, bus et mini cars de transport en commun pour se rendre à leurs lieux de travail ou pour faire des courses.
"Ici, tout est calme, moi-même je viens des cours. Depuis hier nuit, les militaires ont regagné les casernes après avoir perturbé pendant la journée les activités dans la ville", a affirmé un enseignant à Daloa (centre-ouest, 400 km d'Abidjan) joint au téléphone.
A Bouaké (centre, 360 km d'Abidjan) où la grogne des militaires a commencé, les barricades érigées dans les rues et aux corridors ont été levées, les commerces ont rouvert et le trafic routier était normal à la mi-journée mercredi, rapporte un journaliste local.
Mardi, dans un message télévisé, le ministre en charge de la Défense, Paul Koffi Koffi, avait appelé les militaires à regagner leurs casernes leur assurant que le gouvernement a pris des mesures d'urgence pour apporter une solution à leurs problèmes.
Il avait annoncé, entre autres, l'apurement intégral de la solde de 476 ex-FDS d'ici fin décembre, l'octroi du droit au bail à 8 400 caporaux à compter du 1er janvier 2015 et l'ouverture de négociations avec une délégation de militaires pour examiner la question de leurs soldes, de la formation et de la promotion aux grades de caporaux.
Paul Koffi Koffi devrait recevoir la délégation de militaires "ce mercredi à 15h00" (heure locale et GMT), selon des sources proches de son cabinet.
A Abidjan, a constaté un journaliste de Xinhua, aucune entrave à la circulation n'était perceptible à part les bouchons habituels, les commerces étaient ouverts et les usagers se ruaient sur les taxis, bus et mini cars de transport en commun pour se rendre à leurs lieux de travail ou pour faire des courses.
"Ici, tout est calme, moi-même je viens des cours. Depuis hier nuit, les militaires ont regagné les casernes après avoir perturbé pendant la journée les activités dans la ville", a affirmé un enseignant à Daloa (centre-ouest, 400 km d'Abidjan) joint au téléphone.
A Bouaké (centre, 360 km d'Abidjan) où la grogne des militaires a commencé, les barricades érigées dans les rues et aux corridors ont été levées, les commerces ont rouvert et le trafic routier était normal à la mi-journée mercredi, rapporte un journaliste local.
Mardi, dans un message télévisé, le ministre en charge de la Défense, Paul Koffi Koffi, avait appelé les militaires à regagner leurs casernes leur assurant que le gouvernement a pris des mesures d'urgence pour apporter une solution à leurs problèmes.
Il avait annoncé, entre autres, l'apurement intégral de la solde de 476 ex-FDS d'ici fin décembre, l'octroi du droit au bail à 8 400 caporaux à compter du 1er janvier 2015 et l'ouverture de négociations avec une délégation de militaires pour examiner la question de leurs soldes, de la formation et de la promotion aux grades de caporaux.
Paul Koffi Koffi devrait recevoir la délégation de militaires "ce mercredi à 15h00" (heure locale et GMT), selon des sources proches de son cabinet.