Dimbokro - La directrice de l’Institut de formation et d’éducation féminine (IFEF) de Dimbokro, Oulaï Georgette née Tjéhi, a souhaité, vendredi, que sa structure fasse sa mue pour devenir une plate-forme où se tient tout ce qui intéresse la femme.
Enumérant les nombreuses difficultés auxquelles l’IFEF de Dimbokro est confronté, sa directrice a plaidé pour la construction de deux préaux pour accueillir les auditrices.
En plus de l’étroitesse du bâtiment et des salles et de sa situation en plein marché, l’Institut souffre, selon Mme Oulaï, de problèmes tels que l’insuffisance d’espace, l’exigüité de salles, le manque criant de tables-bancs.
"Nous souhaitons l’obtention, dans l’immédiat, d’au moins deux préaux pour accueillir les nombreuses auditrices", a-t-elle dit.
L’IFEF Dimbokro a fait sa rentrée solennelle le 13 octobre en présence des autorités administratives, politiques, coutumières de Dimbokro. Pour l’année académique 2014-2015, il accueille des auditrices régulières après l’acquittement de frais d’inscription de 5.000 FCFA sans fourniture ou de 25.000 FCFA avec fournitures.
Pour la session de formation professionnelle, l’auditrice paie 3 000 FCFA pour l’alphabétisation simple, sans fourniture, 20.000 FCFA pour la pâtisserie et 5.000 FCFA pour la décoration.
Outre ces formations, l’institut initie des animations communautaires dans des quartiers de la ville pour parler de sujets d’actualité, notamment la réconciliation nationale et la cohésion, l’hygiène générale.
"Tout cela, afin que la femme de l’IFEF soit un maillon du développement", a expliqué la directrice.
Créé en 1968, l’institut forme, en trois ans, à la couture, la pâtisserie, la broderie, le crochet, l’art floral, la cuisine, la puériculture.
Des matières comme l’ECM, l’économie domestique, l’hygiène alimentaire et générale y sont aussi enseignées.
Les cours sont dispensés par des enseignantes issues du ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant.
A l’issue des différentes formations, des attestations sont délivrées aux auditrices.
(AIP)
Zgrp/kp
Enumérant les nombreuses difficultés auxquelles l’IFEF de Dimbokro est confronté, sa directrice a plaidé pour la construction de deux préaux pour accueillir les auditrices.
En plus de l’étroitesse du bâtiment et des salles et de sa situation en plein marché, l’Institut souffre, selon Mme Oulaï, de problèmes tels que l’insuffisance d’espace, l’exigüité de salles, le manque criant de tables-bancs.
"Nous souhaitons l’obtention, dans l’immédiat, d’au moins deux préaux pour accueillir les nombreuses auditrices", a-t-elle dit.
L’IFEF Dimbokro a fait sa rentrée solennelle le 13 octobre en présence des autorités administratives, politiques, coutumières de Dimbokro. Pour l’année académique 2014-2015, il accueille des auditrices régulières après l’acquittement de frais d’inscription de 5.000 FCFA sans fourniture ou de 25.000 FCFA avec fournitures.
Pour la session de formation professionnelle, l’auditrice paie 3 000 FCFA pour l’alphabétisation simple, sans fourniture, 20.000 FCFA pour la pâtisserie et 5.000 FCFA pour la décoration.
Outre ces formations, l’institut initie des animations communautaires dans des quartiers de la ville pour parler de sujets d’actualité, notamment la réconciliation nationale et la cohésion, l’hygiène générale.
"Tout cela, afin que la femme de l’IFEF soit un maillon du développement", a expliqué la directrice.
Créé en 1968, l’institut forme, en trois ans, à la couture, la pâtisserie, la broderie, le crochet, l’art floral, la cuisine, la puériculture.
Des matières comme l’ECM, l’économie domestique, l’hygiène alimentaire et générale y sont aussi enseignées.
Les cours sont dispensés par des enseignantes issues du ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant.
A l’issue des différentes formations, des attestations sont délivrées aux auditrices.
(AIP)
Zgrp/kp