Niakara - Les présidents des Comités de gestion des établissements scolaires (COGES) du département de Niakara (centre-nord, région du Hambol) ont décrié les innombrables entraves à l’obtention de la subvention financière de l’Etat à eux allouée, estimant que "cette aide a plus l’aspect d’une faveur ciblée qu'à un droit".
Ils ont exprimé ce sentiment au cours d’un atelier de formation des bureaux de COGES, vendredi, à l'EPP Niakara 1 par le Conseiller pour le Service national de la promotion et du suivi des COGES (SNAPS-COGES), N'djénan Ouattara Boniface, à Niakara.
"Nous sommes à bout de souffle quant aux démarches à effectuer et aux conditions à remplir, afin de bénéficier d'une subvention financière de l'Etat de Côte d'Ivoire. Cette aide ressemble plus à une faveur ciblée qu'à un droit", a déclaré le président du COGES de l"EPP Niakara Résidentiel, N'Gana Raphaël.
N'djénan Ouattara Boniface qui a inscrit en faux cette impression, a justifié que sur les 8.000 écoles primaires publiques que compte la Côte d'Ivoire, 3.000 bénéficient d'une aide financière annuelle de l'Etat dont 24 à Niakara sur les 84 écoles du département.
Il a toutefois rassuré qu’une correction des déséquilibres constatés sont en cours.
Jbm/ik/kp
Ils ont exprimé ce sentiment au cours d’un atelier de formation des bureaux de COGES, vendredi, à l'EPP Niakara 1 par le Conseiller pour le Service national de la promotion et du suivi des COGES (SNAPS-COGES), N'djénan Ouattara Boniface, à Niakara.
"Nous sommes à bout de souffle quant aux démarches à effectuer et aux conditions à remplir, afin de bénéficier d'une subvention financière de l'Etat de Côte d'Ivoire. Cette aide ressemble plus à une faveur ciblée qu'à un droit", a déclaré le président du COGES de l"EPP Niakara Résidentiel, N'Gana Raphaël.
N'djénan Ouattara Boniface qui a inscrit en faux cette impression, a justifié que sur les 8.000 écoles primaires publiques que compte la Côte d'Ivoire, 3.000 bénéficient d'une aide financière annuelle de l'Etat dont 24 à Niakara sur les 84 écoles du département.
Il a toutefois rassuré qu’une correction des déséquilibres constatés sont en cours.
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