Abidjan - Le gouvernement ivoirien se donne "le temps de réflexion" après le rejet, par la Cour pénale internationale (CPI), jeudi, de l’exception d’irrecevabilité soulevée par la Côte d’Ivoire dans l’affaire de l’ex-première dame Simone Gbagbo, dont le transfèrement vers La Haye est également exigé par ladite juridiction.
"Le gouvernement va prendre le temps d’analyser la déclaration de la CPI avant de se prononcer", a déclaré le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, lors d’une conférence de presse au terme d’un Conseil des ministres, jeudi.
"La Côte d’Ivoire reste respectueuse de ses engagements, mais sur la question Simone Gbagbo, elle a des principes qu’elle souhaite voir respectés", a ajouté M. Koné, estimant que le pays la Côte d’Ivoire a fait ce qu’elle a pu dans un environnement complexe".
Un mandat d’arrêt a été émis à l’encontre de l’ex-Première dame ivoirienne par la CPI le 29 février 2012 et dont les scellés ont été levés le 22 novembre 2012.
Selon le mandat d’arrêt, Mme Gbagbo serait pénalement responsable de crimes contre l’humanité ayant pris la forme de meurtres, de viols et d’autres formes de violences sexuelles, d’autres actes inhumains et d’actes de persécution commis sur le territoire de la Côte d’Ivoire entre le 16 décembre 2010 et le 12 avril 2011.
kg/tm
"Le gouvernement va prendre le temps d’analyser la déclaration de la CPI avant de se prononcer", a déclaré le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, lors d’une conférence de presse au terme d’un Conseil des ministres, jeudi.
"La Côte d’Ivoire reste respectueuse de ses engagements, mais sur la question Simone Gbagbo, elle a des principes qu’elle souhaite voir respectés", a ajouté M. Koné, estimant que le pays la Côte d’Ivoire a fait ce qu’elle a pu dans un environnement complexe".
Un mandat d’arrêt a été émis à l’encontre de l’ex-Première dame ivoirienne par la CPI le 29 février 2012 et dont les scellés ont été levés le 22 novembre 2012.
Selon le mandat d’arrêt, Mme Gbagbo serait pénalement responsable de crimes contre l’humanité ayant pris la forme de meurtres, de viols et d’autres formes de violences sexuelles, d’autres actes inhumains et d’actes de persécution commis sur le territoire de la Côte d’Ivoire entre le 16 décembre 2010 et le 12 avril 2011.
kg/tm