Grand-Bassam - Le conseil municipal de Grand-Bassam et le Village des technologies de l’information et de la biotechnologie (VITIB) ont signé un partenariat, lors d’une cérémonie lundi dans la salle de délibération de la mairie.
Selon le maire Philippe Ezaley et le directeur général de VITIB, Philippe Pango, qui ont paraphé le document, ce partenariat va promouvoir le développement économique, culturel, social et environnemental et améliorer la qualité de vie des populations de Grand-Bassam.
Il permettra également de concevoir de façon intégrée un plan de développement de la commune et de la zone de la biotechnologie des télécommunications (ZBTIC) à Grand-Bassam, valoriser la main-d’œuvre et les compétences locales et améliorer l’insertion professionnelle des jeunes.
"C’est un moment fort pour les jeunes car j’ai mis un accent particulier sur leur insertion afin de servir les entreprises qui seront installées dans la zone franche", a déclaré Philippe Ezaley.
M. Pango a plaidé pour la mise en place de la plateforme informatique, afin de réaliser la complémentarité, affirmant que cet accord jugé d’amour et de raison, est signé "car nous avons des entreprises et vous, vous avez la main d’œuvre".
ko/ik/ask
Selon le maire Philippe Ezaley et le directeur général de VITIB, Philippe Pango, qui ont paraphé le document, ce partenariat va promouvoir le développement économique, culturel, social et environnemental et améliorer la qualité de vie des populations de Grand-Bassam.
Il permettra également de concevoir de façon intégrée un plan de développement de la commune et de la zone de la biotechnologie des télécommunications (ZBTIC) à Grand-Bassam, valoriser la main-d’œuvre et les compétences locales et améliorer l’insertion professionnelle des jeunes.
"C’est un moment fort pour les jeunes car j’ai mis un accent particulier sur leur insertion afin de servir les entreprises qui seront installées dans la zone franche", a déclaré Philippe Ezaley.
M. Pango a plaidé pour la mise en place de la plateforme informatique, afin de réaliser la complémentarité, affirmant que cet accord jugé d’amour et de raison, est signé "car nous avons des entreprises et vous, vous avez la main d’œuvre".
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