Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le Chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara s’est fait enrôler, mardi, pour la Couverture maladie universelle (CMU), estimant que ‘’c’est une étape importante’’ de sa ‘’politique sociale’’.
«Je viens de m’enrôler. Je me suis enrôlé pour la Couverture maladie universelle », a déclaré M. Ouattara ajoutant que « c’est une étape importante de notre politique sociale ». «Ceci est très important pour les Ivoiriens surtout pour les plus démunis », a-t-il poursuivi. Pour s’enrôler, il faut la carte nationale d’identité et la somme de 1000 FCFA.
Dix sites ont été choisis pour les opérations d’enrôlement, menés par la Société nationale d’édition de documents administratifs et d’identifications (SNEDAI). A Abidjan il y aura deux sites (l’ex-site siège de la CNPS au Plateau et CNPS Yopougon). Huit autres sites sont à l’intérieur du pays (Agboville, Daoukro, Gagnoa, Yamoussoukro, Boundiali, Ferkessédougou, Odienné et Bouaké). L’enrôlement va durer six à neuf mois.
L’Assemblée nationale ivoirienne a validé en mars dernier, le projet de loi instituant la Couverture maladie universelle (CMU), un système obligatoire de couverture du risque maladie au profit des populations résidant en Côte d’Ivoire.
Le texte qui a abrogé la loi relative à l’Assurance maladie universelle (AMU), voté en 2001, intègre le cadre global des efforts du gouvernement pour assurer une meilleure couverture sanitaire à tous les ivoiriens quel que soit leur niveau de revenu.
La CMU au contraire de l’AMU sera constituée d’une seule caisse ce qui en fait « un dispositif plus simplifié et moins couteux ». Il s’agit notamment de la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM) dont les responsables ont été déjà installés. Elle intégrera les assurances et les autres acteurs du secteur en tant qu’organisme délégués.
Le système propose deux régimes, contributif et non contributif. Le premier régime qui est celui de « base » propose un package minimum de soins offerts à toutes les populations de la Côte d’Ivoire à raison d’une contribution mensuelle de 1000 FCFA par assuré.
Le régime non contributif concerne les personnes en situation d’indigence pour qui l’Etat va injecter près de 49 milliards de FCFA dans les caisses de la CMU.
LS/hs/APA
«Je viens de m’enrôler. Je me suis enrôlé pour la Couverture maladie universelle », a déclaré M. Ouattara ajoutant que « c’est une étape importante de notre politique sociale ». «Ceci est très important pour les Ivoiriens surtout pour les plus démunis », a-t-il poursuivi. Pour s’enrôler, il faut la carte nationale d’identité et la somme de 1000 FCFA.
Dix sites ont été choisis pour les opérations d’enrôlement, menés par la Société nationale d’édition de documents administratifs et d’identifications (SNEDAI). A Abidjan il y aura deux sites (l’ex-site siège de la CNPS au Plateau et CNPS Yopougon). Huit autres sites sont à l’intérieur du pays (Agboville, Daoukro, Gagnoa, Yamoussoukro, Boundiali, Ferkessédougou, Odienné et Bouaké). L’enrôlement va durer six à neuf mois.
L’Assemblée nationale ivoirienne a validé en mars dernier, le projet de loi instituant la Couverture maladie universelle (CMU), un système obligatoire de couverture du risque maladie au profit des populations résidant en Côte d’Ivoire.
Le texte qui a abrogé la loi relative à l’Assurance maladie universelle (AMU), voté en 2001, intègre le cadre global des efforts du gouvernement pour assurer une meilleure couverture sanitaire à tous les ivoiriens quel que soit leur niveau de revenu.
La CMU au contraire de l’AMU sera constituée d’une seule caisse ce qui en fait « un dispositif plus simplifié et moins couteux ». Il s’agit notamment de la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM) dont les responsables ont été déjà installés. Elle intégrera les assurances et les autres acteurs du secteur en tant qu’organisme délégués.
Le système propose deux régimes, contributif et non contributif. Le premier régime qui est celui de « base » propose un package minimum de soins offerts à toutes les populations de la Côte d’Ivoire à raison d’une contribution mensuelle de 1000 FCFA par assuré.
Le régime non contributif concerne les personnes en situation d’indigence pour qui l’Etat va injecter près de 49 milliards de FCFA dans les caisses de la CMU.
LS/hs/APA