Divo – Le président du Conseil régional du Lôh-Djiboua, Zakpa Komenan, recevant lundi les vœux du Nouvel an des populations, a annoncé que les sociétés minières présentes sur le territoire régional restent disposées à soutenir le développement local.
Il a notamment cité Agbahou Endeavour mining dont les dirigeants promettent « quelque chose sur leur chiffre d’affaire » pour faire profiter directement la région des activités d’extraction de l’or.
« Nous sommes en négociation avec nos partenaires de Endeavour mining à Agbaou. Ils ont dit que c’est vrai qu’ils paient des taxes à l’Etat mais qu’ils doivent se tourner aussi vers nous et le code minier nous autorise à le faire. Ils nous promettent quelque chose sur leur chiffre d’affaire », a affirmé M. Zakpa.
Il a invité tous les services compétents du Conseil régional ainsi que les cadres de la région spécialistes dans le domaine à se joindre à la négociation, afin que le Loh-Djiboua tire rapidement et subséquemment profit de la présence de "ses’’ mines d’or.
« J’ai demandé seulement 10% et le président de la République m’a dit que c’est jouable. Le ministre des Mines vers qui il m’a orienté a, lui, affirmé que c’est tout à fait possible », a expliqué Zakpa Komenan.
Il a justifié sa démarche vers les sociétés minières par la pression qu’exercent les populations qui veulent sentir les effets de leurs présences dans le Lôh-Djiboua.
« Nous sommes à la disposition des populations et ces populations nous interpellent. Si ces entreprises nous donnent un ou deux milliards, l’intérêt de la chose, c’est que cet argent reste ici. En ce moment-là, nous allons voir avec les techniciens là où il faut régler les problèmes ».
Deux mines d’or sur les cinq qui existent en Côte d’Ivoire sont implantées dans le Lôh-Djiboua. La région ne connaît pas pour autant un rayonnement infrastructurel à la dimension de cette double présence, relève-t-on.
gso/kkp/ask
Il a notamment cité Agbahou Endeavour mining dont les dirigeants promettent « quelque chose sur leur chiffre d’affaire » pour faire profiter directement la région des activités d’extraction de l’or.
« Nous sommes en négociation avec nos partenaires de Endeavour mining à Agbaou. Ils ont dit que c’est vrai qu’ils paient des taxes à l’Etat mais qu’ils doivent se tourner aussi vers nous et le code minier nous autorise à le faire. Ils nous promettent quelque chose sur leur chiffre d’affaire », a affirmé M. Zakpa.
Il a invité tous les services compétents du Conseil régional ainsi que les cadres de la région spécialistes dans le domaine à se joindre à la négociation, afin que le Loh-Djiboua tire rapidement et subséquemment profit de la présence de "ses’’ mines d’or.
« J’ai demandé seulement 10% et le président de la République m’a dit que c’est jouable. Le ministre des Mines vers qui il m’a orienté a, lui, affirmé que c’est tout à fait possible », a expliqué Zakpa Komenan.
Il a justifié sa démarche vers les sociétés minières par la pression qu’exercent les populations qui veulent sentir les effets de leurs présences dans le Lôh-Djiboua.
« Nous sommes à la disposition des populations et ces populations nous interpellent. Si ces entreprises nous donnent un ou deux milliards, l’intérêt de la chose, c’est que cet argent reste ici. En ce moment-là, nous allons voir avec les techniciens là où il faut régler les problèmes ».
Deux mines d’or sur les cinq qui existent en Côte d’Ivoire sont implantées dans le Lôh-Djiboua. La région ne connaît pas pour autant un rayonnement infrastructurel à la dimension de cette double présence, relève-t-on.
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