Une mission du Ministère de l’Education nationale et de l’Enseignement technique a présenté mercredi aux acteurs et partenaires locaux de l’Ecole à Man le bilan et les perspectives des réformes en cours.
Le chef de mission, l’Inspecteur général de l’Education nationale et l’Enseignement technique, Kouyaté Idrissa, a cité entre autres acquis, la réforme des examens et le recadrage des programmes d’enseignement qui, a-t-il dit, ont produit de bons résultats.
Il a rappelé qu’en vue de rendre l’école performante, le gouvernement a créé 11 000 écoles primaires, 370 collèges et recruté 18 000 instituteurs et 3 000 professeurs.
Le ministère a aussi engagé une politique d’amélioration du cadre et de la qualité de vie par l’instauration de journées mensuelles de salubrité et la relance des activités d’animation de la vie scolaire (vacances cultures, oissu etc.)
Pour une école accueillante et performante, des réformes sont en cours, dont le projet des «écoles intégrées», prenant en compte les langues nationales au primaire, et les «écoles de proximité» consistant à mettre des établissements secondaires à moins de cinq km des villages à la ronde.
Dans le cadre de l’Ecole pour tous recommandé par les objectifs du Millénaire pour le développement, le gouvernement a décidé de prendre en compte les écoles coraniques (Franco-arabes, médersa) pour en faire des écoles privées confessionnelles encadrées comme l’enseignement catholique ou protestante.
"L’Ecole ne pouvant prospérer que dans la paix, Madame la Ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique a décidé de faire du dialogue sociale, la clé de voûte de sa politique managériale. c’est pourquoi elle a créé le Conseil consultatif de l’Education nationale (CCEN)", a expliqué M. Kouyaté.
Le CCEN composé des représentants des acteurs et partenaires de l’Ecole (administration, syndicats d’enseignants, parents d’élèves), a pour mission de promouvoir le dialogue social. Les démembrements du CCEN en région sont les «cellules d’alerte précoce».
gem/ask
Le chef de mission, l’Inspecteur général de l’Education nationale et l’Enseignement technique, Kouyaté Idrissa, a cité entre autres acquis, la réforme des examens et le recadrage des programmes d’enseignement qui, a-t-il dit, ont produit de bons résultats.
Il a rappelé qu’en vue de rendre l’école performante, le gouvernement a créé 11 000 écoles primaires, 370 collèges et recruté 18 000 instituteurs et 3 000 professeurs.
Le ministère a aussi engagé une politique d’amélioration du cadre et de la qualité de vie par l’instauration de journées mensuelles de salubrité et la relance des activités d’animation de la vie scolaire (vacances cultures, oissu etc.)
Pour une école accueillante et performante, des réformes sont en cours, dont le projet des «écoles intégrées», prenant en compte les langues nationales au primaire, et les «écoles de proximité» consistant à mettre des établissements secondaires à moins de cinq km des villages à la ronde.
Dans le cadre de l’Ecole pour tous recommandé par les objectifs du Millénaire pour le développement, le gouvernement a décidé de prendre en compte les écoles coraniques (Franco-arabes, médersa) pour en faire des écoles privées confessionnelles encadrées comme l’enseignement catholique ou protestante.
"L’Ecole ne pouvant prospérer que dans la paix, Madame la Ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique a décidé de faire du dialogue sociale, la clé de voûte de sa politique managériale. c’est pourquoi elle a créé le Conseil consultatif de l’Education nationale (CCEN)", a expliqué M. Kouyaté.
Le CCEN composé des représentants des acteurs et partenaires de l’Ecole (administration, syndicats d’enseignants, parents d’élèves), a pour mission de promouvoir le dialogue social. Les démembrements du CCEN en région sont les «cellules d’alerte précoce».
gem/ask