Le Chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara a annoncé, jeudi, à Bouaflé (Centre-Ouest) que "le taux de pauvreté a fortement baissé pendant ces trois dernières années en Côte d’Ivoire", estimant que "l’émergence n’est pas un vain mot, mais une ambition".
"Le taux pauvreté a fortement baissé ces trois dernières années en Côte d’Ivoire (...) L’émergence n’est pas un vain mot, c’est vraiment une ambition", a déclaré M. Ouattara au cours d’une rencontre avec les cadres, élus, autorités politiques et administratives de Bouaflé après l’inauguration du pont de la Marahoué.
Après plusieurs années de récession dues aux crises militaro- politiques ponctuées par les meurtriers affrontements post- électoraux de 2010-2011, l’économie ivoirienne se relance avec un taux de croissance de plus de 9% depuis 2012.
Auparavant, il a échangé avec les Chefs traditionnels de la Marahoué qui lui ont traduit toute leur reconnaissance pour "ce cadeau magnifique que constitue le Pont" et salué le nouveau statut accordé aux Rois et Chefs traditionnels de Côte d’Ivoire.
"J’aimerais compter sur votre soutien pour avoir un deuxième mandat", a lancé Alassane Ouattara à ses interlocuteurs.
Le gouvernement ivoirien lance du 22 janvier au 20 mars prochain une enquête pour déterminer le niveau de vie des ménages ivoiriens. Cette enquête dont les résultats sont prévus le 31 mars va également permettre une évaluation de l’impact de la guerre sur le bien-être des ménages ainsi qu’une évaluation de la vulnérabilité de ces ménages en période post-crise.
Selon des chiffres publiés en 2012 par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), 48,9% de la population ivoirienne vit en dessous du seuil de pauvreté avec moins de 500 FCFA (environ un dollar américain) par jour. La Côte d’Ivoire compte près de 23 millions d’habitants d’après les résultats du Recensement général de la population et de l’habitat (RGPH) réalisé l’année dernière.
L’enquête sur le niveau de vie des ménages (ENV) a été régulièrement réalisée en 1993, 1995, 1998, 2002 et 2008, après les premières évaluations dans les années 1985, 1986, 1987 et 1988 sous la dénomination de Enquête Permanente Auprès des ménages (EPAM).
Evaluée à un coût de 997,809 millions de Fcfa, cette nouvelle enquête bénéficie de l’appui technique et financier de la Banque mondiale.
"Le taux pauvreté a fortement baissé ces trois dernières années en Côte d’Ivoire (...) L’émergence n’est pas un vain mot, c’est vraiment une ambition", a déclaré M. Ouattara au cours d’une rencontre avec les cadres, élus, autorités politiques et administratives de Bouaflé après l’inauguration du pont de la Marahoué.
Après plusieurs années de récession dues aux crises militaro- politiques ponctuées par les meurtriers affrontements post- électoraux de 2010-2011, l’économie ivoirienne se relance avec un taux de croissance de plus de 9% depuis 2012.
Auparavant, il a échangé avec les Chefs traditionnels de la Marahoué qui lui ont traduit toute leur reconnaissance pour "ce cadeau magnifique que constitue le Pont" et salué le nouveau statut accordé aux Rois et Chefs traditionnels de Côte d’Ivoire.
"J’aimerais compter sur votre soutien pour avoir un deuxième mandat", a lancé Alassane Ouattara à ses interlocuteurs.
Le gouvernement ivoirien lance du 22 janvier au 20 mars prochain une enquête pour déterminer le niveau de vie des ménages ivoiriens. Cette enquête dont les résultats sont prévus le 31 mars va également permettre une évaluation de l’impact de la guerre sur le bien-être des ménages ainsi qu’une évaluation de la vulnérabilité de ces ménages en période post-crise.
Selon des chiffres publiés en 2012 par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), 48,9% de la population ivoirienne vit en dessous du seuil de pauvreté avec moins de 500 FCFA (environ un dollar américain) par jour. La Côte d’Ivoire compte près de 23 millions d’habitants d’après les résultats du Recensement général de la population et de l’habitat (RGPH) réalisé l’année dernière.
L’enquête sur le niveau de vie des ménages (ENV) a été régulièrement réalisée en 1993, 1995, 1998, 2002 et 2008, après les premières évaluations dans les années 1985, 1986, 1987 et 1988 sous la dénomination de Enquête Permanente Auprès des ménages (EPAM).
Evaluée à un coût de 997,809 millions de Fcfa, cette nouvelle enquête bénéficie de l’appui technique et financier de la Banque mondiale.