Une « Ville fleurie », on sait ce que c’est, et ça se voit ; le label « Ville internet » est plus énigmatique. L’idée de départ : sortir les élus de leur mollesse numérique et récompenser les initiatives locales.
En septembre dernier, quand j’ai emménagé à Asnières (Hauts-de-Seine), en banlieue parisienne, j’ai rapidement appris deux choses sur ma nouvelle ville : qu’elle était jumelée à un quartier de Berlin (et OUAIS, on est hype ou on ne l’est pas), et puis qu’elle était « internet ».
Les deux infos m’ont été offertes en traversant un passage piéton. Là, à quelques numéros de chez moi (et du domicile de feu Chérif Kouachi, d’ailleurs), il y a ce panneau sur lequel est écrit « Ville internet », suivi de trois « @ ». Je n’ai pas... suite de l'article sur
En septembre dernier, quand j’ai emménagé à Asnières (Hauts-de-Seine), en banlieue parisienne, j’ai rapidement appris deux choses sur ma nouvelle ville : qu’elle était jumelée à un quartier de Berlin (et OUAIS, on est hype ou on ne l’est pas), et puis qu’elle était « internet ».
Les deux infos m’ont été offertes en traversant un passage piéton. Là, à quelques numéros de chez moi (et du domicile de feu Chérif Kouachi, d’ailleurs), il y a ce panneau sur lequel est écrit « Ville internet », suivi de trois « @ ». Je n’ai pas... suite de l'article sur