Conseiller Economique et Social, par ailleurs Secrétaire Général Adjoint du RDR, avec rang de conseiller spécial, M. Adié Dominique, ex-maire de Bouaflé, nous livre dans cet entretien, ses sentiments après l’inauguration du pont de Bouaflé, le 15 janvier 2015 par le chef de l’Etat, SEM. Alassane Ouattara. Une autre preuve pour que les Ivoiriens accordent un second mandat au président Ouattara.
Après plusieurs décennies d’attente, aujourd’hui le pont de Bouaflé est une réalité, quels sont vos sentiments en tant que ex- maire de cette localité ?
C’est une immense joie et fierté qui m’anime. Je crois que nous devons remercier le seigneur. Je vous rappelle que j’ai été le maire qui a pesé de tout son poids pour que ce pont soit une réalité. Aujourd’hui, c’est chose faite. Je suis celui qui a posé la première pierre de ce pont aux côtés du président Ouattara, en tant que maire de la Commune de Bouaflé en 2012 et négocier le bitumage des 7 kilomètres de voirie dans la ville, auprès de la BOAD. Ce pont est une fierté pour les populations de la Marahoué, qui l’attendaient depuis 30 ans. Egalement une fierté pour moi et le conseil municipal que je dirigeais. Car notre action a été une action d’approche pour détecter les besoins réels de nos populations. Avec bien entendu, la haute clairvoyance et politique du chef de l’Etat, Son Excellence Alassane Ouattara.
Certainement un départ Nouveau, pour la Marahoué ?
C’est ce que vous constatez. Ecoutez, Bouaflé est dans l’émergence. En terme de décollage, je dis que nous avons pris notre envol, depuis l’élection du président Ouattara en 2010.Donc parlant de décollage, nous y sommes depuis longtemps. Et nous allons stabiliser nos actions et les amplifier avec d’autres réalisations. Bouaflé connaîtra l’émergence d’ici 2020.
Quels sont les atouts de ce pont, en terme de retombées économiques ?
C’est un bel ouvrage et cela inspire nos populations, aujourd’hui. Contrairement à l’ancien pont, qui nous a causé beaucoup de torts. Avec ce pont, le trafic sera très fluide, cela est à l’avantage de nos populations. Surtout les opérateurs économiques. Notamment les femmes du vivriers de la Marahoué et leurs sœurs du grand ouest et du centre. Au niveau de la ville, il apporte une certaine clarté, par sa splendeur. Cela veut dire que l’avenir sera meilleur avec ces actes majeurs et historiques que pose le Président de la République.
Etes-vous d’avis avec ceux qui pensent qu’il ne faudrait pas accorder un second mandat au président Ouattara ?
Nous devons donner un second mandat au président. S’il avait eu l’entièreté de son mandat j’aurais pu comprendre. Il a exercé son mandat de moitié. Donc, c’est tout à fait normal qu’aujourd’hui, il demande un second mandat. Il a été confronté à des situations qu’il n’avait pas budgétisées. Ce sont des facteurs liés à la crise post électorale. Et quand, il demande un second mandat, c’est tout à faire juste et normal. Regardez un peu, après la crise, dans l’administration, il n’y avait rien. Absolument rien. Il a été obligé de tout mettre en place. ça lui a coûté plus de deux(2) années. Il a été obligé en plus de cela, avec son intelligence qui le caractérise de créer des modèles de développement. Et c’est, comme ça, que nous avons connu le PPU le Plan Présidentiel d’Urgence. Combien de pays ont connu ce type de programme. Alors en remettant l’administration en place, les Ivoiriens travaillent aujourd’hui en plein régime .En même temps, il s’est attaqué aux grands chantiers de son programme. Vous savez, ce n’est pas facile. Donc en demandant un second mandat, c’est de lui permettre d’achever le programme de société qu’il nous a présenté.
Comment entrevoyez-vous l’élection présidentielle d’octobre prochain ?
A notre niveau, je crois que j’ai créé le MR-RDR(le Mouvement pour la Remobilisation des Républicains), pour répondre à ces échéances. Aujourd’hui, c’est un mouvement qui fait son chemin. Nous sommes implantés dans 88 départements et communes de la Côte d’Ivoire. Et aussi à Abidjan. Le MR-RDR fait du corps à corps. Nous avons une cartographie dans les villes et villages du pays, avec cette cartographie, nous allons vers les populations, pour leur expliquer le bien fondé de notre appel à renouveler le mandat du président Ouattara. Nous expliquons les causes et les effets. Vous savez, il y a beaucoup de personnes qui ont connue la déception. C’est légitime. Parce que les attentes n’ont pas été celles que les populations ont voulu. C’est tout à fait normal, qu’elles disent nous sommes fâchés et déçus. Parce qu’en si peu de temps, on ne peut pas tout faire. Vous savez le plus grand chantier du chef de l’Etat qui va s’ouvrir en 2015, c’est le social. Et le social, c’est la santé, la Couverture Maladie Universelle. Il y a également la gratuité de l’école. Beaucoup de facteurs vont rentrer en ligne de compte. Il a lancé d’énormes chantiers. Ils ne sont pas exécutés convenablement. Mais cela ne saurait tarder. Parce que, le souhait du président Ouattara est que chaque ivoirien soit instruit. Je demande à chaque ivoirien de le soutenir, en lui accordant un second mandat. Parce que l’émergence n’est pas un simple slogan pour faire plaisir à quelqu’un, mais une ambition, une vision futuriste. Nous venons de faire deux inaugurations de pont en espace d’un mois. Il y a deux ans, personne ne pensait que cela serait possible. C’est ça la marque des grands hommes d’Etat. Le président Ouattara, c’est les actes plutôt que les discours.
Interview réalisée par Diallo Harry à Bouaflé
Après plusieurs décennies d’attente, aujourd’hui le pont de Bouaflé est une réalité, quels sont vos sentiments en tant que ex- maire de cette localité ?
C’est une immense joie et fierté qui m’anime. Je crois que nous devons remercier le seigneur. Je vous rappelle que j’ai été le maire qui a pesé de tout son poids pour que ce pont soit une réalité. Aujourd’hui, c’est chose faite. Je suis celui qui a posé la première pierre de ce pont aux côtés du président Ouattara, en tant que maire de la Commune de Bouaflé en 2012 et négocier le bitumage des 7 kilomètres de voirie dans la ville, auprès de la BOAD. Ce pont est une fierté pour les populations de la Marahoué, qui l’attendaient depuis 30 ans. Egalement une fierté pour moi et le conseil municipal que je dirigeais. Car notre action a été une action d’approche pour détecter les besoins réels de nos populations. Avec bien entendu, la haute clairvoyance et politique du chef de l’Etat, Son Excellence Alassane Ouattara.
Certainement un départ Nouveau, pour la Marahoué ?
C’est ce que vous constatez. Ecoutez, Bouaflé est dans l’émergence. En terme de décollage, je dis que nous avons pris notre envol, depuis l’élection du président Ouattara en 2010.Donc parlant de décollage, nous y sommes depuis longtemps. Et nous allons stabiliser nos actions et les amplifier avec d’autres réalisations. Bouaflé connaîtra l’émergence d’ici 2020.
Quels sont les atouts de ce pont, en terme de retombées économiques ?
C’est un bel ouvrage et cela inspire nos populations, aujourd’hui. Contrairement à l’ancien pont, qui nous a causé beaucoup de torts. Avec ce pont, le trafic sera très fluide, cela est à l’avantage de nos populations. Surtout les opérateurs économiques. Notamment les femmes du vivriers de la Marahoué et leurs sœurs du grand ouest et du centre. Au niveau de la ville, il apporte une certaine clarté, par sa splendeur. Cela veut dire que l’avenir sera meilleur avec ces actes majeurs et historiques que pose le Président de la République.
Etes-vous d’avis avec ceux qui pensent qu’il ne faudrait pas accorder un second mandat au président Ouattara ?
Nous devons donner un second mandat au président. S’il avait eu l’entièreté de son mandat j’aurais pu comprendre. Il a exercé son mandat de moitié. Donc, c’est tout à fait normal qu’aujourd’hui, il demande un second mandat. Il a été confronté à des situations qu’il n’avait pas budgétisées. Ce sont des facteurs liés à la crise post électorale. Et quand, il demande un second mandat, c’est tout à faire juste et normal. Regardez un peu, après la crise, dans l’administration, il n’y avait rien. Absolument rien. Il a été obligé de tout mettre en place. ça lui a coûté plus de deux(2) années. Il a été obligé en plus de cela, avec son intelligence qui le caractérise de créer des modèles de développement. Et c’est, comme ça, que nous avons connu le PPU le Plan Présidentiel d’Urgence. Combien de pays ont connu ce type de programme. Alors en remettant l’administration en place, les Ivoiriens travaillent aujourd’hui en plein régime .En même temps, il s’est attaqué aux grands chantiers de son programme. Vous savez, ce n’est pas facile. Donc en demandant un second mandat, c’est de lui permettre d’achever le programme de société qu’il nous a présenté.
Comment entrevoyez-vous l’élection présidentielle d’octobre prochain ?
A notre niveau, je crois que j’ai créé le MR-RDR(le Mouvement pour la Remobilisation des Républicains), pour répondre à ces échéances. Aujourd’hui, c’est un mouvement qui fait son chemin. Nous sommes implantés dans 88 départements et communes de la Côte d’Ivoire. Et aussi à Abidjan. Le MR-RDR fait du corps à corps. Nous avons une cartographie dans les villes et villages du pays, avec cette cartographie, nous allons vers les populations, pour leur expliquer le bien fondé de notre appel à renouveler le mandat du président Ouattara. Nous expliquons les causes et les effets. Vous savez, il y a beaucoup de personnes qui ont connue la déception. C’est légitime. Parce que les attentes n’ont pas été celles que les populations ont voulu. C’est tout à fait normal, qu’elles disent nous sommes fâchés et déçus. Parce qu’en si peu de temps, on ne peut pas tout faire. Vous savez le plus grand chantier du chef de l’Etat qui va s’ouvrir en 2015, c’est le social. Et le social, c’est la santé, la Couverture Maladie Universelle. Il y a également la gratuité de l’école. Beaucoup de facteurs vont rentrer en ligne de compte. Il a lancé d’énormes chantiers. Ils ne sont pas exécutés convenablement. Mais cela ne saurait tarder. Parce que, le souhait du président Ouattara est que chaque ivoirien soit instruit. Je demande à chaque ivoirien de le soutenir, en lui accordant un second mandat. Parce que l’émergence n’est pas un simple slogan pour faire plaisir à quelqu’un, mais une ambition, une vision futuriste. Nous venons de faire deux inaugurations de pont en espace d’un mois. Il y a deux ans, personne ne pensait que cela serait possible. C’est ça la marque des grands hommes d’Etat. Le président Ouattara, c’est les actes plutôt que les discours.
Interview réalisée par Diallo Harry à Bouaflé