Le ministre ivoirien de la communication, Me Affoussiata Bamba-Lamine a engagé, mercredi, la presse numérique à contribuer à des « élections apaisées » en 2015.
Au cours d’une rencontre avec le Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire (REPPRELCI), Me Affoussiata Bamba-Lamine a souligné le rôle important de ce secteur de la communication.
« Cette année nous avons réellement l’occasion de démontrer à la face de la Côte d’Ivoire et du monde que nous sommes des artisans de paix. Nous sommes là pour construire », a déclaré le ministre de la communication.
« Il est difficile de savoir qui est derrière la presse en ligne. C’est pourquoi, votre responsabilité est beaucoup plus lourde que ne l’est celle de la presse papier », a-t-elle poursuivi en souhaitant que « ces élections (de 2015) soient les plus apaisées possibles, parce que tout le monde regarde. La Côte d’Ivoire servira d’exemple et de modèle ».
« Nous devrons tous travailler pour le pays » a encore estimé le ministre de la communication, saluant le REPPRELCI pour sa « contribution qualitative », aux travaux sur la révision de la loi de 2014 portant régime juridique de la presse en Côte d’Ivoire.
Se félicitant du « travail remarquable » que fait le REPPRELCI en recensant les sites web d’information, Me Affoussiata Bamba-Lamine, a souligné qu’il appartient aux membres du REPPRELCI « de tout faire pour que ceux qui animent ces espaces (sites d’information) soient de vrais journalistes ».
Auparavant, le Vice-Président du REPPRELCI, Lassina Sermé, lui a remis une copie du rapport de la première édition de l’opération de recensement des sites web d’information en Côte d’Ivoire.
« Les défis de notre secteur sont nombreux. En effet, nous devons nous attaquer sans complaisance aux problèmes de qualité des offres éditoriales, de production et d’accroissement des recettes publicitaires », a déclaré M. Sermé.
Il ressort de ce rapport que plus de 316 personnes sont employées par les entreprises recensées dont 186 journalistes professionnels, soit 20,66% de l’ensemble des journalistes de Côte
d’Ivoire.
80% des sites d’information emploient au moins un journaliste professionnel, tandis que 61% des sites disposent d’un siège. 36% ont un registre de commerce, quand seulement 1% d’entre eux, a un hébergeur basé en Côte d’Ivoire.
« Ces résultats représentent des indicateurs importants dans la perspective de prise de décision par le gouvernement pour une réglementation du secteur », a insisté le Vice-Président du REPPRELCI, annonçant que la deuxième édition de l’opération de recensement et d’identification des sites web d’information sera lancée en février prochain.
« Pour ce faire, le REPPRELCI sollicite un appui financier du ministère, en vue de produire un résultat beaucoup plus précis et surtout d’éditer un annuaire électronique et physique des médias numériques de la Cote d’Ivoire », a-t-il ajouté.
Crée le 2 septembre 2006 à Abidjan et regroupant les acteurs de la presse numérique du pays, le Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire (REPPRELCI), s’est fixé comme objectifs d’organiser, structurer et promouvoir les entreprises de presse en ligne.
LS/hs/APA
Au cours d’une rencontre avec le Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire (REPPRELCI), Me Affoussiata Bamba-Lamine a souligné le rôle important de ce secteur de la communication.
« Cette année nous avons réellement l’occasion de démontrer à la face de la Côte d’Ivoire et du monde que nous sommes des artisans de paix. Nous sommes là pour construire », a déclaré le ministre de la communication.
« Il est difficile de savoir qui est derrière la presse en ligne. C’est pourquoi, votre responsabilité est beaucoup plus lourde que ne l’est celle de la presse papier », a-t-elle poursuivi en souhaitant que « ces élections (de 2015) soient les plus apaisées possibles, parce que tout le monde regarde. La Côte d’Ivoire servira d’exemple et de modèle ».
« Nous devrons tous travailler pour le pays » a encore estimé le ministre de la communication, saluant le REPPRELCI pour sa « contribution qualitative », aux travaux sur la révision de la loi de 2014 portant régime juridique de la presse en Côte d’Ivoire.
Se félicitant du « travail remarquable » que fait le REPPRELCI en recensant les sites web d’information, Me Affoussiata Bamba-Lamine, a souligné qu’il appartient aux membres du REPPRELCI « de tout faire pour que ceux qui animent ces espaces (sites d’information) soient de vrais journalistes ».
Auparavant, le Vice-Président du REPPRELCI, Lassina Sermé, lui a remis une copie du rapport de la première édition de l’opération de recensement des sites web d’information en Côte d’Ivoire.
« Les défis de notre secteur sont nombreux. En effet, nous devons nous attaquer sans complaisance aux problèmes de qualité des offres éditoriales, de production et d’accroissement des recettes publicitaires », a déclaré M. Sermé.
Il ressort de ce rapport que plus de 316 personnes sont employées par les entreprises recensées dont 186 journalistes professionnels, soit 20,66% de l’ensemble des journalistes de Côte
d’Ivoire.
80% des sites d’information emploient au moins un journaliste professionnel, tandis que 61% des sites disposent d’un siège. 36% ont un registre de commerce, quand seulement 1% d’entre eux, a un hébergeur basé en Côte d’Ivoire.
« Ces résultats représentent des indicateurs importants dans la perspective de prise de décision par le gouvernement pour une réglementation du secteur », a insisté le Vice-Président du REPPRELCI, annonçant que la deuxième édition de l’opération de recensement et d’identification des sites web d’information sera lancée en février prochain.
« Pour ce faire, le REPPRELCI sollicite un appui financier du ministère, en vue de produire un résultat beaucoup plus précis et surtout d’éditer un annuaire électronique et physique des médias numériques de la Cote d’Ivoire », a-t-il ajouté.
Crée le 2 septembre 2006 à Abidjan et regroupant les acteurs de la presse numérique du pays, le Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire (REPPRELCI), s’est fixé comme objectifs d’organiser, structurer et promouvoir les entreprises de presse en ligne.
LS/hs/APA