Abidjan - La Première dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara, "condamne" et s’"insurge" contre le phénomène des enlèvements et assassinats d’enfants qui crée la psychose depuis quelques mois dans le pays, des actes qu’elle juge "ignobles".
Il s’agit d’"actes ignobles que je condamne avec la plus ferme énergie", "des actes horribles et inhumains que rien ne saurait justifier", a déclaré Mme Ouattara, lundi dans un communiqué dont copie a été transmis à l’AIP.
"Je m’insurge contre ces enlèvements d’enfants dans mon Pays. En tant que mère, grand-mère et Première Dame de Côte d’Ivoire. Je veux que cela cesse.
Des mesures dissuasives vigoureuses doivent être prises sans attendre", poursuit-elle, appelant "à la réactivité et au pragmatisme" des départements ministériels concernés par la gestion de ce fléau.
Une vingtaine d’enfants ont été enlevés et assassinés ces derniers mois à Abidjan et dans certaines villes de l’intérieur du pays, selon la police.
Pour Dominique Ouattara qui appelle à la vigilance des parents, enfants et chefs d’établissements scolaires, le gouvernement doit faire de cette "menace est grave", une "priorité nationale".
"J’adresse tous mes vœux de compassion aux parents des enfants disparus. Je partage leur consternation et leur peine.
C’est une épreuve douloureuse et cruelle, qu’aucun parent ne devrait subir", conclut la Première dame.
(AIP)
tm
Il s’agit d’"actes ignobles que je condamne avec la plus ferme énergie", "des actes horribles et inhumains que rien ne saurait justifier", a déclaré Mme Ouattara, lundi dans un communiqué dont copie a été transmis à l’AIP.
"Je m’insurge contre ces enlèvements d’enfants dans mon Pays. En tant que mère, grand-mère et Première Dame de Côte d’Ivoire. Je veux que cela cesse.
Des mesures dissuasives vigoureuses doivent être prises sans attendre", poursuit-elle, appelant "à la réactivité et au pragmatisme" des départements ministériels concernés par la gestion de ce fléau.
Une vingtaine d’enfants ont été enlevés et assassinés ces derniers mois à Abidjan et dans certaines villes de l’intérieur du pays, selon la police.
Pour Dominique Ouattara qui appelle à la vigilance des parents, enfants et chefs d’établissements scolaires, le gouvernement doit faire de cette "menace est grave", une "priorité nationale".
"J’adresse tous mes vœux de compassion aux parents des enfants disparus. Je partage leur consternation et leur peine.
C’est une épreuve douloureuse et cruelle, qu’aucun parent ne devrait subir", conclut la Première dame.
(AIP)
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