Le Conseil national de la presse (CNP) a suspendu le journaliste Didier Dépry du quotidien Notre Voie pour une durée d’un mois pour ‘’violation de la règle de l’équilibre de l’information’’, indique un communiqué de l’organe officiel de régulation de la presse ivoirienne, transmis, mardi, à APA.
le journaliste, auteur de l'article ‘'Malaise dans l'Armée/Soumaïla Bakayoko s'en va'', paru dans l'édition du lundi 5 janvier 2015 de Notre Voie est interdit d'écrire dans aucun journal durant cette période.
Dans l'article incriminé,le journaliste ''soutient sans réserve ni preuve que depuis le départ à la retraite du Chef d'Etat-major, l'armée ivoirienne serait sans chef et que le pressenti au poste, le général Sékou Touré, chef d'Etat-major adjoint, émettrait des réserves avant d'occuper les nouvelles fonctions en raison des maux et problèmes qui mineraient l'armée'', selon le communiqué.
Pour le CNP, outre la violation de la règle de l'équilibre de l'information, ‘'ces écrits sont d'une extrême gravité en ce qu'ils sont de nature à entamer la sérénité de l'armée et font peser des menaces sur la sécurité du pays et la tranquillité des populations'', souligne le texte signé du président du conseil, Raphaël Lakpé.
Pour ces manquements, le CNP, en plus de la suspension qui frappe M. Dépry, a, également, infligé à l'entreprise de presse, La Refondation SA, éditrice de Notre Voie, une sanction pécuniaire d'un montant d'un million de francs CFA.
HS/ls/APA
le journaliste, auteur de l'article ‘'Malaise dans l'Armée/Soumaïla Bakayoko s'en va'', paru dans l'édition du lundi 5 janvier 2015 de Notre Voie est interdit d'écrire dans aucun journal durant cette période.
Dans l'article incriminé,le journaliste ''soutient sans réserve ni preuve que depuis le départ à la retraite du Chef d'Etat-major, l'armée ivoirienne serait sans chef et que le pressenti au poste, le général Sékou Touré, chef d'Etat-major adjoint, émettrait des réserves avant d'occuper les nouvelles fonctions en raison des maux et problèmes qui mineraient l'armée'', selon le communiqué.
Pour le CNP, outre la violation de la règle de l'équilibre de l'information, ‘'ces écrits sont d'une extrême gravité en ce qu'ils sont de nature à entamer la sérénité de l'armée et font peser des menaces sur la sécurité du pays et la tranquillité des populations'', souligne le texte signé du président du conseil, Raphaël Lakpé.
Pour ces manquements, le CNP, en plus de la suspension qui frappe M. Dépry, a, également, infligé à l'entreprise de presse, La Refondation SA, éditrice de Notre Voie, une sanction pécuniaire d'un montant d'un million de francs CFA.
HS/ls/APA