Le samedi 31 janvier se tiendra à Abidjan-Plateau une conférence publique visant à éclairer les parents et les étudiants sur les opportunités de poursuivre des études à l’étranger. L’initiative est de ELS (Educational Services), un groupe américain, spécialisé dans l’apprentissage de la langue anglaise.
Justifiant les motivations de cette démarche face à la presse le mardi 28 janvier, Simon Gooch, représentant de ELS, a insisté sur l’avantage qu’a la langue anglaise d’ouvrir les portes de l’emploi aux étudiants en fin de formation.
« Pour réussir dans une carrière, il faut avoir fait des études. Et il est essentiel d’avoir une bonne connaissance et une pratique de l’anglais. Cela maximise les opportunités. C’est une bonne idée de commencer l’apprentissage de l’anglais à Abidjan. Cela minimise d’ailleurs les frais. Mais il est difficile d’avoir un niveau très élevé en restant dans un pays francophone. Il est donc nécessaire d’immigrer dans un pays anglophone pour parfaire son niveau en anglais », a-t-il expliqué
ELS assure les premières étapes de l’apprentissage de l’anglais par des centres disséminés dans 650 universités dans le monde, offrant ainsi « l’expérience d’une immersion totale ». L’institut assure également un suivi de l’étudiant dans le pays d’accueil et pour le choix de l’université qui lui convient. Ces prestations vont de l’assistance pour l’obtention du visa à l’hébergement de l’étudiant dans le pays de destination, en passant par l’accueil dès son arrivée.
« En Côte d’Ivoire, il y a un grand désir des parents d’investir pour les études et une bonne carrière pour leurs enfants. En 2014, nous avons accueilli 45 étudiants venus de Côte d’Ivoire et qui sont présentement inscrits dans des universités aux USA et en France. Leurs résultats satisfaisants témoignent de la qualité de nos services », poursuit M. Gooch. Cette année, le groupe s’attend à un quota de 80 à 100 étudiants en provenance de Côte d’Ivoire et a ajouté l’Inde aux destinations offertes aux postulants.
La rencontre de samedi permettra, selon M. Jude Djegba, représentant résident de ELS à Abidjan, de « proposer des solutions aux obstacles éventuels ou réels que rencontrent les candidats à l’immigration pour études ». Car, outre les résultats scolaires de l’enfant, les études à l’étranger sont subordonnées à d’autres critères tels que le coût de la vie, le budget des parents et aussi la capacité d’adaptation au climat…
L’autre marque de fiabilité de ELS est le partenariat noué avec l’ONU à travers le Concours « Many languages, One world » qui récompense les meilleures rédactions sur un sujet attenant au développement durable.
Les candidats ont jusqu’au 25 mars pour proposer leurs écrits (2000 mots maximum) à l’adresse manylanguagesoneworld.els.edu. Les textes doivent être rédigés dans une langue autre que la langue première du candidat et parmi l’une des 6 langues officielles de l’ONU (Français, anglais, espagnol, arabes, chinois, portugais).
La 2e édition qui a cours cette année donnera droit à un séjour tous frais payés aux 70 lauréats.
Les candidats ont jusqu’au 25 mars pour proposer leurs écrits (2000 mots maximum) à l’adresse manylanguagesoneworld.els.edu .
Le samedi 31 janvier se tiendra à Abidjan-Plateau une conférence publique visant à éclairer les parents et les étudiants sur les opportunités de poursuivre des études à l’étranger. L’initiative est de ELS (Educational Services), un groupe américain, spécialisé dans l’apprentissage de la langue anglaise.
Justifiant les motivations de cette démarche face à la presse ce mardi, Simon Gooch, représentant de ELS, a insisté sur l’avantage qu’a la langue anglaise d’ouvrir les portes de l’emploi aux étudiants en fin de formation.
« Pour réussir dans une carrière, il faut avoir fait des études. Et il est essentiel d’avoir une bonne connaissance et une pratique de l’anglais. Cela maximise les opportunités. C’est une bonne idée de commencer l’apprentissage de l’anglais à Abidjan. Cela minimise d’ailleurs les frais. Mais il est difficile d’avoir un niveau très élevé en restant dans un pays francophone. Il est donc nécessaire d’immigrer dans un pays anglophone pour parfaire son niveau en anglais », a-t-il expliqué
ELS assure les premières étapes de l’apprentissage de l’anglais par des centres disséminés dans 650 universités dans le monde, offrant ainsi « l’expérience d’une immersion totale ». L’institut assure également un suivi de l’étudiant dans le pays d’accueil et pour le choix de l’université qui lui convient. Ces prestations vont de l’assistance pour l’obtention du visa à l’hébergement de l’étudiant dans le pays de destination, en passant par l’accueil dès son arrivée.
« En Côte d’Ivoire, il y a un grand désir des parents d’investir pour les études et une bonne carrière pour leurs enfants. En 2014, nous avons accueilli 45 étudiants venus de Côte d’Ivoire et qui sont présentement inscrits dans des universités aux USA et en France. Leurs résultats satisfaisants témoignent de la qualité de nos services », poursuit M. Gooch. Cette année, le groupe s’attend à un quota de 80 à 100 étudiants en provenance de Côte d’Ivoire et a ajouté l’Inde aux destinations offertes aux postulants.
La rencontre de samedi permettra, selon M. Jude Djegba, représentant résident de ELS à Abidjan, de « proposer des solutions aux obstacles éventuels ou réels que rencontrent les candidats à l’immigration pour études ». Car, outre les résultats scolaires de l’enfant, les études à l’étranger sont subordonnées à d’autres critères tels que le coût de la vie, le budget des parents et aussi la capacité d’adaptation au climat…
L’autre marque de fiabilité de ELS est le partenariat noué avec l’ONU à travers le Concours « Many languages, One world » qui récompense les meilleures rédactions sur un sujet attenant au développement durable.
Les candidats ont jusqu’au 25 mars pour proposer leurs écrits (2000 mots maximum) à l’adresse manylanguagesoneworld.els.edu. Les textes doivent être rédigés dans une langue autre que la langue première du candidat et parmi l’une des 6 langues officielles de l’ONU (Français, anglais, espagnol, arabes, chinois, portugais).
La 2e édition qui a cours cette année donnera droit à un séjour tous frais payés aux 70 lauréats.
Les candidats ont jusqu’au 25 mars pour proposer leurs écrits (2000 mots maximum) à l’adresse manylanguagesoneworld.els.edu .