L'année 2014 aura été difficile. Le procureur de la Cour pénale internationale, Fatou Bensouda, refuse de parler d'échecs, mais sait que ses détracteurs l'attendent au tournant. Qu'elle aura bientôt à défendre des dossiers emblématiques et qu'il est urgent de redresser la barre.
Fatou Bensouda joue gros. Trois ans après sa nomination au poste de procureur de la Cour pénale internationale (CPI), elle vient d'ouvrir un examen préliminaire sur les crimes de guerre présumés en Palestine. Évidemment, après la bataille de Gaza de juillet-août 2014 (près de 2 200 Palestiniens et 70 Israéliens tués), Israël se sent visé et juge cette décision "scandaleuse".
Surtout, les États-Unis la qualifient d'"ironie tragique", alors qu'Israël "a fait face à des milliers de... suite de l'article sur Jeune Afrique
Fatou Bensouda joue gros. Trois ans après sa nomination au poste de procureur de la Cour pénale internationale (CPI), elle vient d'ouvrir un examen préliminaire sur les crimes de guerre présumés en Palestine. Évidemment, après la bataille de Gaza de juillet-août 2014 (près de 2 200 Palestiniens et 70 Israéliens tués), Israël se sent visé et juge cette décision "scandaleuse".
Surtout, les États-Unis la qualifient d'"ironie tragique", alors qu'Israël "a fait face à des milliers de... suite de l'article sur Jeune Afrique