L’Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réintégration (Addr) des ex-combattants demande l’appui du Front populaire ivoirien (Fpi). Mardi, son directeur, Fidèle Sarassoro, et une délégation ont eu une séance de travail avec Pascal Affi N’Guessan à sa résidence à M’Bandon.
Le président du Fpi était entouré de son chef de cabinet adjoint Kouakou Krah, de Michel Amani N’Guessan et de Gnato Zié. Ces deux derniers sont respectivement chargés des questions de sécurité, de défense et du désarmement des ex-combattants.
Fidèle Sarassoro a indiqué qu’il est allé solliciter le Fpi pour que cette formation politique s’associe aux différentes activités de l’Addr afin d’accélérer la réinsertion et la réintégration des ex-combattants. Il s’est réjoui de l’attention accordée par le président du Fpi à sa démarche. Mais, à l’en croire, le président du Fpi, Pascal Affi N’Guessan, a demandé que l’accent soit mis sur la réconciliation et la cohésion sociale. Il a aussi souhaité qu’un cadre de concertation soit créé pour permettre au Fpi de soutenir l’Addr.
Interrogé sur l’état d’avancement de sa mission, le patron de la démobilisation et du désarmement des ex-combattants a souligné que «le processus avance très bien». Ajoutant, par ailleurs, qu’à la datedu mardi, «sur un effectif de 74 mille ex-combattants, 46 mille ont pu être réinsérés. Et 19.500 armements collectés au nombre desquels se trouvent 9.500 fusils et armes de guerre, dont 70% sont fonctionnels».
Est-ce que le désarmement pourra être total avant les élections de 2015 ? «C’est notre souhait. C’est notre ambition et c’est pour cela que nous sommes venus demander l’appui du Fpi», a répondu Fidèle Sarassoro. Qui rencontre les partis politiques.
Benjamin KORE
Le président du Fpi était entouré de son chef de cabinet adjoint Kouakou Krah, de Michel Amani N’Guessan et de Gnato Zié. Ces deux derniers sont respectivement chargés des questions de sécurité, de défense et du désarmement des ex-combattants.
Fidèle Sarassoro a indiqué qu’il est allé solliciter le Fpi pour que cette formation politique s’associe aux différentes activités de l’Addr afin d’accélérer la réinsertion et la réintégration des ex-combattants. Il s’est réjoui de l’attention accordée par le président du Fpi à sa démarche. Mais, à l’en croire, le président du Fpi, Pascal Affi N’Guessan, a demandé que l’accent soit mis sur la réconciliation et la cohésion sociale. Il a aussi souhaité qu’un cadre de concertation soit créé pour permettre au Fpi de soutenir l’Addr.
Interrogé sur l’état d’avancement de sa mission, le patron de la démobilisation et du désarmement des ex-combattants a souligné que «le processus avance très bien». Ajoutant, par ailleurs, qu’à la datedu mardi, «sur un effectif de 74 mille ex-combattants, 46 mille ont pu être réinsérés. Et 19.500 armements collectés au nombre desquels se trouvent 9.500 fusils et armes de guerre, dont 70% sont fonctionnels».
Est-ce que le désarmement pourra être total avant les élections de 2015 ? «C’est notre souhait. C’est notre ambition et c’est pour cela que nous sommes venus demander l’appui du Fpi», a répondu Fidèle Sarassoro. Qui rencontre les partis politiques.
Benjamin KORE