Abidjan - Le gouvernement ivoirien appelle tous les ex-combattants non encore insérés dans le tissu socioéconomique à venir adhérer au processus de l’Autorité pour le désarmement la démobilisation et la réintégration (ADDR) avant juin 2015, estimant que le pays doit aborder les élections générales prochaines dans la paix et de sécurité.
Lors du lancement d’une campagne nationale de sensibilisation initiée par l’ADDR qu’il présidait, mercredi sur le site de démobilisation d’Anyama, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, a exhorté les jeunes à s’approprier le processus ADDR qui "est une chance offerte par les autorités qu’il ne faut pas rater pour avoir un avenir radieux".
Pour M. Bakayoko, l’accélération de la réinsertion des ex-combattants est, selon la vision du président Alassane Ouattara, "une priorité et même une cause d’intérêt national".
Il a invité les chefs de communautés, les journalistes, les autorités et les ex combattants déjà réinsérés à servir de relais pour que ceux qui hésitent encore puissent venir s’adresser à l’ADDR.
"A mi parcours du processus, 62 % des ex-combattants sont solidement réinsérés. Ces jeunes doivent comprendre qu’ils ont la capacité d’avoir une meilleure vie ailleurs que dans le métier des armes", a conclu M. Bakayoko.
Pour directeur de l’ADDR, Fidèle Sarassoro, certes le bilan des deux années et demi d’existence de la structure est positif avec 46 780 ex-combattants démobilises et solidement réinsérés sur 74 000 identifies mais le défi majeur est la prise en compte de tous au plus tard fin juin 2015 comme voulu par le chef de l’Etat.
"C’est pourquoi je voudrais lancer un appel pressant aux ex-combattants : rejoignez nous sans délai. L’ADDR a des programmes de réinsertion fiable et prometteur pour vous.
Il est temps de saisir votre chance maintenait. L’ADDR vous attend", a pour sa part appelé le directeur de l’ADDR, Fidèle Sarassoro.
(AIP)
ik/tm
Lors du lancement d’une campagne nationale de sensibilisation initiée par l’ADDR qu’il présidait, mercredi sur le site de démobilisation d’Anyama, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, a exhorté les jeunes à s’approprier le processus ADDR qui "est une chance offerte par les autorités qu’il ne faut pas rater pour avoir un avenir radieux".
Pour M. Bakayoko, l’accélération de la réinsertion des ex-combattants est, selon la vision du président Alassane Ouattara, "une priorité et même une cause d’intérêt national".
Il a invité les chefs de communautés, les journalistes, les autorités et les ex combattants déjà réinsérés à servir de relais pour que ceux qui hésitent encore puissent venir s’adresser à l’ADDR.
"A mi parcours du processus, 62 % des ex-combattants sont solidement réinsérés. Ces jeunes doivent comprendre qu’ils ont la capacité d’avoir une meilleure vie ailleurs que dans le métier des armes", a conclu M. Bakayoko.
Pour directeur de l’ADDR, Fidèle Sarassoro, certes le bilan des deux années et demi d’existence de la structure est positif avec 46 780 ex-combattants démobilises et solidement réinsérés sur 74 000 identifies mais le défi majeur est la prise en compte de tous au plus tard fin juin 2015 comme voulu par le chef de l’Etat.
"C’est pourquoi je voudrais lancer un appel pressant aux ex-combattants : rejoignez nous sans délai. L’ADDR a des programmes de réinsertion fiable et prometteur pour vous.
Il est temps de saisir votre chance maintenait. L’ADDR vous attend", a pour sa part appelé le directeur de l’ADDR, Fidèle Sarassoro.
(AIP)
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