La Banque africaine de développement (BAD) veut mettre en place un système sanitaire permettant l'éradication absolue de la maladie à virus Ebola qui a fait plus de 9000 morts dans la sous-région ouest-africaine, a appris Xinhua jeudi auprès de l'Institution bancaire dont le siège se trouve à Abidjan en Côte d'Ivoire.
Dans leur réflexion sur les moyens mis en œuvre par la BAD, de hauts responsables de l'Institution ont fait le constat que "l'expansion de la maladie a mis en lumière les faiblesses des systèmes de soins de santé et des systèmes connexes dans les pays concernés en particulier, mais aussi sur le continent africain dans son ensemble".
"A preuve, alors que les experts de la santé annonçaient une faible proportion de la maladie vers la fin de l'année 2014, de nouveaux cas et de nouvelles épidémies ont été signalés en Guinée et en Sierra Leone au cours des deux dernières semaines, dans des zones qui avaient été jusqu'ici épargnées", ont-ils noté.
Pour les administrateurs de la BAD, il est nécessaire de renforcer les mesures de lutte contre la maladie, tout en soulignant le besoin de disposer d'une stratégie à l'échelle de tout le secteur au sein des pays pour combattre la maladie à moyen et à long termes.
L'Ebola a fait son apparition pour la première fois en 1976, dans le cadre de deux épidémies simultanées qui ont touché les localités de Nzara au Soudan et de Yambuku, à proximité de la rivière Ebola (d'où la maladie tire son nom) en République démocratique du Congo (RDC).
L'épidémie qui sévit actuellement en Afrique de l'ouest est considérée comme la plus importante et la plus complexe jamais connue jusqu'ici. Elle est attribuable à un cas unique survenu en Guinée en décembre 2013.
Le virus Ebola s'est par la suite propagé dans le pays, puis a atteint des pays de la sous-région que sont le Libéria, la Sierra Leone et le Nigéria.Selon, l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la maladie a fait à ce jour plus de 9 000 morts. En Côte d' Ivoire, pays qui abrite le siège de la BAD, aucun cas de virus Ebola n'a encore été déclaré, mais le pays fait preuve d'une grande vigilance.
Dans leur réflexion sur les moyens mis en œuvre par la BAD, de hauts responsables de l'Institution ont fait le constat que "l'expansion de la maladie a mis en lumière les faiblesses des systèmes de soins de santé et des systèmes connexes dans les pays concernés en particulier, mais aussi sur le continent africain dans son ensemble".
"A preuve, alors que les experts de la santé annonçaient une faible proportion de la maladie vers la fin de l'année 2014, de nouveaux cas et de nouvelles épidémies ont été signalés en Guinée et en Sierra Leone au cours des deux dernières semaines, dans des zones qui avaient été jusqu'ici épargnées", ont-ils noté.
Pour les administrateurs de la BAD, il est nécessaire de renforcer les mesures de lutte contre la maladie, tout en soulignant le besoin de disposer d'une stratégie à l'échelle de tout le secteur au sein des pays pour combattre la maladie à moyen et à long termes.
L'Ebola a fait son apparition pour la première fois en 1976, dans le cadre de deux épidémies simultanées qui ont touché les localités de Nzara au Soudan et de Yambuku, à proximité de la rivière Ebola (d'où la maladie tire son nom) en République démocratique du Congo (RDC).
L'épidémie qui sévit actuellement en Afrique de l'ouest est considérée comme la plus importante et la plus complexe jamais connue jusqu'ici. Elle est attribuable à un cas unique survenu en Guinée en décembre 2013.
Le virus Ebola s'est par la suite propagé dans le pays, puis a atteint des pays de la sous-région que sont le Libéria, la Sierra Leone et le Nigéria.Selon, l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la maladie a fait à ce jour plus de 9 000 morts. En Côte d' Ivoire, pays qui abrite le siège de la BAD, aucun cas de virus Ebola n'a encore été déclaré, mais le pays fait preuve d'une grande vigilance.