Yamoussoukro - Les activités de modernisation et de rénovation pédagogique de l'école supérieure d'agronomie (ESA) et de l'école supérieure d'industrie (ESI) de l'institut national polytechnique Houphouët-Boigny ( INP-HB) de Yamoussoukro, ont démarré mardi en présence des représentants du directeur l'École Centrale de Lyon, Franck Debouck et du directeur des régions chaudes de Montpellier SupAgro, Jacques Mailler deux partenaires qui accompagnent la mise en œuvre du projet.
Le projet de réforme s'inscrit dans le cadre du contrat désendettement et de développement (C2D) volet éducation formation dans sa composante modernisation de l'INP-HB et va durer deux ans.
Il concerne la réhabilitation des bâtiments du renouvellement des installations d'électricité, de la plomberie, l'eau, les installations sécuritaires, mais surtout la rénovation de la formation, la modernisation de la gouvernance, le renforcement des ressources humaines, les enseignants-chercheurs dans un certain nombre de domaines nouveaux, les administratifs, les techniciens et le personnel d'appui, qui constituent la communauté pédagogique.
Quatre jours durant, les partenaires et experts de l'enseignement supérieur, auront à réfléchir sur les objectifs pédagogiques, la rénovation des cursus et curricula académiques adaptés aux besoins des entreprises et à la modernisation nécessaire de l'ESA et l'ESI, l'acquisition des équipements matériels de formation ainsi que les modalités de gouvernance.
Le directeur des régions chaudes de Montpellier Supagro Jacques Maillet dont l'école accompagne l'ESA dans la rénovation a fait savoir que les réflexions sur l'ESA doivent mettre en relation la formation avec un objectif d'accompagner l'école dans son processus de Licence-master-doctorat (LMD), mais surtout d'être en adéquation étroite les besoins du marché de l'emploi.
'' Cela doit accompagner la réflexion sur le lien entre l'école les départements, les différents comités qui vont accompagner la formation au niveau de l'ESA de même que la modernisation de tout l'équipement scientifique pédagogique dont vous avez besoin'', a fait savoir le représentant de SupAgro Jacques Maillet. Ce, pour que tous les thèmes qui sont centraux dans la formation en agronomie agroalimentaire, puissent être portés par les enseignants-chercheurs pour accompagner les étudiants dans leur formation a-t-il expliqué.
Le directeur général Franck Débouck de l'École Centrale de Lyon Partenaire d'appui à la réforme pédagogique de l'ESI, a quant à lui insisté sur la rigueur en terme de recrutement aussi bien envers les enseignants que les élèves, et sur l'agilité de l'école d'ingénieurs pour qu'elle s'adapte en permanence aux besoins de l'emploi et aux besoins des différentes composantes de l'emploi des élèves, de l'administration, du monde socio-économique et culturel en préparant les élèves ingénieurs à contribuer à relever les défis nouveaux.
Il a soutenu que l'application de ces actions conduira à la réussite de l'ambitieux projet de rénovation pédagogique et permettra à l'ESI d'affirmer sa place de leader dans la sous-région et d'être demain, l'un des plus grands acteurs reconnus de l'enseignement supérieur de la formation d'ingénieurs du continent africain.
Le projet C2D éducation formation dans sa première phase a accordé 21 milliards F CFA à l'enseignement supérieur dont 14 milliards, soit les deux tiers alloués à l'INP-HB. Il prévoit des activités relatives à la rénovation de l'INP-HB notamment la réhabilitation des infrastructures, l'acquisition des équipements matériels et pédagogiques, la modernisation de l'école supérieure agronomique et de l'école supérieure d'industrie de l'INP-HB, ainsi que l'accompagnement de la réforme des statuts et de la gouvernance de l'institut.
(AIP)
nam/kam
Le projet de réforme s'inscrit dans le cadre du contrat désendettement et de développement (C2D) volet éducation formation dans sa composante modernisation de l'INP-HB et va durer deux ans.
Il concerne la réhabilitation des bâtiments du renouvellement des installations d'électricité, de la plomberie, l'eau, les installations sécuritaires, mais surtout la rénovation de la formation, la modernisation de la gouvernance, le renforcement des ressources humaines, les enseignants-chercheurs dans un certain nombre de domaines nouveaux, les administratifs, les techniciens et le personnel d'appui, qui constituent la communauté pédagogique.
Quatre jours durant, les partenaires et experts de l'enseignement supérieur, auront à réfléchir sur les objectifs pédagogiques, la rénovation des cursus et curricula académiques adaptés aux besoins des entreprises et à la modernisation nécessaire de l'ESA et l'ESI, l'acquisition des équipements matériels de formation ainsi que les modalités de gouvernance.
Le directeur des régions chaudes de Montpellier Supagro Jacques Maillet dont l'école accompagne l'ESA dans la rénovation a fait savoir que les réflexions sur l'ESA doivent mettre en relation la formation avec un objectif d'accompagner l'école dans son processus de Licence-master-doctorat (LMD), mais surtout d'être en adéquation étroite les besoins du marché de l'emploi.
'' Cela doit accompagner la réflexion sur le lien entre l'école les départements, les différents comités qui vont accompagner la formation au niveau de l'ESA de même que la modernisation de tout l'équipement scientifique pédagogique dont vous avez besoin'', a fait savoir le représentant de SupAgro Jacques Maillet. Ce, pour que tous les thèmes qui sont centraux dans la formation en agronomie agroalimentaire, puissent être portés par les enseignants-chercheurs pour accompagner les étudiants dans leur formation a-t-il expliqué.
Le directeur général Franck Débouck de l'École Centrale de Lyon Partenaire d'appui à la réforme pédagogique de l'ESI, a quant à lui insisté sur la rigueur en terme de recrutement aussi bien envers les enseignants que les élèves, et sur l'agilité de l'école d'ingénieurs pour qu'elle s'adapte en permanence aux besoins de l'emploi et aux besoins des différentes composantes de l'emploi des élèves, de l'administration, du monde socio-économique et culturel en préparant les élèves ingénieurs à contribuer à relever les défis nouveaux.
Il a soutenu que l'application de ces actions conduira à la réussite de l'ambitieux projet de rénovation pédagogique et permettra à l'ESI d'affirmer sa place de leader dans la sous-région et d'être demain, l'un des plus grands acteurs reconnus de l'enseignement supérieur de la formation d'ingénieurs du continent africain.
Le projet C2D éducation formation dans sa première phase a accordé 21 milliards F CFA à l'enseignement supérieur dont 14 milliards, soit les deux tiers alloués à l'INP-HB. Il prévoit des activités relatives à la rénovation de l'INP-HB notamment la réhabilitation des infrastructures, l'acquisition des équipements matériels et pédagogiques, la modernisation de l'école supérieure agronomique et de l'école supérieure d'industrie de l'INP-HB, ainsi que l'accompagnement de la réforme des statuts et de la gouvernance de l'institut.
(AIP)
nam/kam
