Domaine name system (Dns), maillon clé du fonctionnement d’internet, fait régulièrement l’objet d’attaque grâce à des méthodes mises au point par des hackers afin de l’empoisonner et le détourner du trafic vers leurs serveurs. Ce qui leur permet de falsifier les réponses données par l’annuaire qu’est le Dns. Au cours d’un atelier qui s’est ouvert, hier, à la Maison de l’entreprise, l’Autorité de régulation des télécommunications de Côte d’Ivoire (Artci), a entamé une sensibilisation et une formation technique qui visent à montrer aux participants ce qu’est le Domain name system security extensions ou Dnssec, l’alternative à la sécurisation de l’authenticité de la réponse Dns.
En effet, avec la Dnssec, lorsque le navigateur envoie une requête, celle-ci revient avec une clef d’authentification qui atteste que l’IP renvoyée est la bonne. L’utilisateur est alors assuré d’accéder au bon site lorsqu’il reçoit cette IP validée par Dnssec. Et si un hacker tente de modifier la table contenue dans le serveur Dns protégé par Dnssec, sa requête restera sans suite car l’information envoyée n’aura pas été signée.
Selon Bilé Diéméléou, directeur général de l’Artci, la régulation implique la mise en œuvre de moyens juridiques et technologiques. Pour lui, c’est aussi créer les conditions d’un environnement qui offre la sécurité des services. Il pense que la dimension sécurité doit être plus que jamais au cœur des préoccupations de l’écosystème. C’est pourquoi, a-t-il soutenu, ce séminaire vient à point nommé afin que tous soient bien informés et mieux formés sur la technologie Dnssec.
«L’accès à internet est désormais un bien fondamental. C’est pourquoi, il appartient aux Etats d’en assurer un accès équitable et sécurisé. .ci est l’identité numérique de la Côte d’Ivoire et doit être sécurisé pour rassurer nos partenaires», a indiqué André Appété, directeur de cabinet adjoint du ministère de la Poste et des Tic.
KONé Modeste
En effet, avec la Dnssec, lorsque le navigateur envoie une requête, celle-ci revient avec une clef d’authentification qui atteste que l’IP renvoyée est la bonne. L’utilisateur est alors assuré d’accéder au bon site lorsqu’il reçoit cette IP validée par Dnssec. Et si un hacker tente de modifier la table contenue dans le serveur Dns protégé par Dnssec, sa requête restera sans suite car l’information envoyée n’aura pas été signée.
Selon Bilé Diéméléou, directeur général de l’Artci, la régulation implique la mise en œuvre de moyens juridiques et technologiques. Pour lui, c’est aussi créer les conditions d’un environnement qui offre la sécurité des services. Il pense que la dimension sécurité doit être plus que jamais au cœur des préoccupations de l’écosystème. C’est pourquoi, a-t-il soutenu, ce séminaire vient à point nommé afin que tous soient bien informés et mieux formés sur la technologie Dnssec.
«L’accès à internet est désormais un bien fondamental. C’est pourquoi, il appartient aux Etats d’en assurer un accès équitable et sécurisé. .ci est l’identité numérique de la Côte d’Ivoire et doit être sécurisé pour rassurer nos partenaires», a indiqué André Appété, directeur de cabinet adjoint du ministère de la Poste et des Tic.
KONé Modeste