Invité spécial du Haut-commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés, M. Traoré Salif dit A’Salfo, lead vocal du groupe Magic System a fait une déclaration au cours de la cérémonie de clôture de la réunion ministérielle sur l’apatridie en Afrique de l’ouest qui s’est tenue mercredi dernier à l’auditorium de l’hôtel Sofitel Ivoire d’Abidjan, en présence de plusieurs personnalités notamment le garde des sceaux ministre ivoirien de la justice, des droits de l’homme et des libertés publiques, Mamadou Gnénéma Coulibaly.
Intervenant en sa double qualité d’ambassadeur de bonne volonté de l’UNESCO et celui des Droits de l’homme en Côte d’Ivoire, A’Salfo a affirmé que la rencontre sous régionale lui offre l’occasion solennelle de proposer des solutions appropriées face au fléau de l’apatridie qui mine l’équilibre de notre société.
Un phénomène selon lui, qui constitue un véritable drame existentiel qui déséquilibre non seulement la personne ou la frange de la population concernée, mais qui est également une source potentielle de déséquilibre du pays dans lequel elle vit.
Pour l ’ambassadeur de l ’Unesco : ""Pour ma part je m’engage à initier un projet pilote de lutte contre l’apatridie qui va démarrer cette année en Cote d’Ivoire et s’étendre aux pays membres de la CEDEAO.
En outre, dans toutes mes interventions à la radio, à la télévision, dans les concerts........, je livrerai un message relatif à la régularisation de cette situation, pour laquelle j’organiserai bientôt une caravane".
A’Salfo en a profité pour inviter tous les pays membres de la CEDEAO à adopter en urgence des dispositions juridiques qui vont régulariser la situation de cette catégorie particulière de personnes en leur accordant la nationalité du pays d’accueil.
L’artiste chanteur a par ailleurs souhaité que cette invitation résonne au-delà de l’institution sous régionale pour être prise en compte par l’ensemble des pays membres de l’ONU.
L’Ambassadeur de bonne volonté de l’UNESCO s’est engagé à initier un projet pilote de lutte contre l’apatridie qui va démarrer cette année en Côte d’Ivoire et s’étendre aux pays membres de la CEDEAO.
A’Salfo a promis de livrer des messages relatifs à la régularisation de cette situation au cours de ces interventions télé, radio et pendant les concerts.
L’Ambassadeur des droits de l’homme en Côte d’Ivoire, a terminé son propos en remerciant, l’UNESCO, le Haut-commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés, le ministère Ivoirien de la Justice, des Droits de l’homme et des libertés publique.
Intervenant en sa double qualité d’ambassadeur de bonne volonté de l’UNESCO et celui des Droits de l’homme en Côte d’Ivoire, A’Salfo a affirmé que la rencontre sous régionale lui offre l’occasion solennelle de proposer des solutions appropriées face au fléau de l’apatridie qui mine l’équilibre de notre société.
Un phénomène selon lui, qui constitue un véritable drame existentiel qui déséquilibre non seulement la personne ou la frange de la population concernée, mais qui est également une source potentielle de déséquilibre du pays dans lequel elle vit.
Pour l ’ambassadeur de l ’Unesco : ""Pour ma part je m’engage à initier un projet pilote de lutte contre l’apatridie qui va démarrer cette année en Cote d’Ivoire et s’étendre aux pays membres de la CEDEAO.
En outre, dans toutes mes interventions à la radio, à la télévision, dans les concerts........, je livrerai un message relatif à la régularisation de cette situation, pour laquelle j’organiserai bientôt une caravane".
A’Salfo en a profité pour inviter tous les pays membres de la CEDEAO à adopter en urgence des dispositions juridiques qui vont régulariser la situation de cette catégorie particulière de personnes en leur accordant la nationalité du pays d’accueil.
L’artiste chanteur a par ailleurs souhaité que cette invitation résonne au-delà de l’institution sous régionale pour être prise en compte par l’ensemble des pays membres de l’ONU.
L’Ambassadeur de bonne volonté de l’UNESCO s’est engagé à initier un projet pilote de lutte contre l’apatridie qui va démarrer cette année en Côte d’Ivoire et s’étendre aux pays membres de la CEDEAO.
A’Salfo a promis de livrer des messages relatifs à la régularisation de cette situation au cours de ces interventions télé, radio et pendant les concerts.
L’Ambassadeur des droits de l’homme en Côte d’Ivoire, a terminé son propos en remerciant, l’UNESCO, le Haut-commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés, le ministère Ivoirien de la Justice, des Droits de l’homme et des libertés publique.