Abidjan – Le ministre français de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a révélé mercredi matin sur RTL, que la première boite noire de l’A320 qui s’est crashé la veille à l’Est de la France, est endommagée mais exploitable, annonçant son transfert dans la matinée au Bureau d’enquêtes et d’analyses, à Paris.
Le travail d’enquête sur la zone montagneuse où s’est écrasé un avion de la Germanwings, mardi, avait été suspendu dans la nuit. Il a repris, mercredi matin, dans les Alpes-de-Haute-Provence.
"La récupération des corps et de la deuxième boîte noire sont des priorités", a indiqué le porte-parole du ministère de l’Intérieur, Pierre-Henry Brandet.
La première boite noire contenant les sons du cockpit (Cockpit voice recorder, CVR) est en cours d’analyse et malgré son endommagement, "il est possible de reconstituer ses éléments de manière à pouvoir l’exploiter dans les heures qui viennent", a précisé Bernard Cazeneuve.
Des enquêteurs ont été hélitreuillés dans cette zone montagneuse difficile d’accès, située sur la commune de Méolans-Revel (Alpes-de-Haute-Provence), loin de toute habitation ou route d’accès. Cinq hommes ont surveillé le site pendant la nuit, pendant qu’une soixantaine de gendarmes ont entrepris de le rejoindre à pied pour le sécuriser.
Les proches des victimes sont attendus sur place, dans la journée. Une chapelle ardente et un PC opérationnel ont été installés à Seyne-les-Alpes. Une cellule d’urgence médico-psychologique a été activée à l’hôpital de Digne-les-Bains, une autre doit l’être à Seyne-les-Alpes.
Dix médecins légistes vont venir dans la journée pour aider à l’identification des corps. Ils travailleront avec les enquêteurs spécialisés de la gendarmerie nationale, selon Bernard Cazeneuve.
Le Président français François Hollande, la chancelière allemande Angela Merkel et le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy se rendront sur les lieux à 14H.
Une heure après son décollage à Barcelone (Espagne), l’Airbus A320 de Germanwings à destination de Düsseldorf (Allemagne) s’est écrasé à l’Est de la France, avec à son bord 150 personnes, soit 144 passagers et six membres d’équipage.
Seize lycéens et deux professeurs allemands qui revenaient d’un voyage scolaire en Espagne, figurent parmi les victimes du crash de l’avion, âgé de 24 ans.
Bernard Cazeneuve a affirmé, sur RTL, que l’hypothèse d’un attentat est moins probable que celle d’un accident.
cmas
Le travail d’enquête sur la zone montagneuse où s’est écrasé un avion de la Germanwings, mardi, avait été suspendu dans la nuit. Il a repris, mercredi matin, dans les Alpes-de-Haute-Provence.
"La récupération des corps et de la deuxième boîte noire sont des priorités", a indiqué le porte-parole du ministère de l’Intérieur, Pierre-Henry Brandet.
La première boite noire contenant les sons du cockpit (Cockpit voice recorder, CVR) est en cours d’analyse et malgré son endommagement, "il est possible de reconstituer ses éléments de manière à pouvoir l’exploiter dans les heures qui viennent", a précisé Bernard Cazeneuve.
Des enquêteurs ont été hélitreuillés dans cette zone montagneuse difficile d’accès, située sur la commune de Méolans-Revel (Alpes-de-Haute-Provence), loin de toute habitation ou route d’accès. Cinq hommes ont surveillé le site pendant la nuit, pendant qu’une soixantaine de gendarmes ont entrepris de le rejoindre à pied pour le sécuriser.
Les proches des victimes sont attendus sur place, dans la journée. Une chapelle ardente et un PC opérationnel ont été installés à Seyne-les-Alpes. Une cellule d’urgence médico-psychologique a été activée à l’hôpital de Digne-les-Bains, une autre doit l’être à Seyne-les-Alpes.
Dix médecins légistes vont venir dans la journée pour aider à l’identification des corps. Ils travailleront avec les enquêteurs spécialisés de la gendarmerie nationale, selon Bernard Cazeneuve.
Le Président français François Hollande, la chancelière allemande Angela Merkel et le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy se rendront sur les lieux à 14H.
Une heure après son décollage à Barcelone (Espagne), l’Airbus A320 de Germanwings à destination de Düsseldorf (Allemagne) s’est écrasé à l’Est de la France, avec à son bord 150 personnes, soit 144 passagers et six membres d’équipage.
Seize lycéens et deux professeurs allemands qui revenaient d’un voyage scolaire en Espagne, figurent parmi les victimes du crash de l’avion, âgé de 24 ans.
Bernard Cazeneuve a affirmé, sur RTL, que l’hypothèse d’un attentat est moins probable que celle d’un accident.
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