Abidjan (Côte d'Ivoire) - Le leader du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI, ex-parti unique) Henri Konan Bédié, par ailleurs ‘’père’’ de l’Appel de Daoukro, honoré le week-end dernier à Dimbokro (Centre), se paie la Une de la presse ivoirienne parue, lundi, sur l’ensemble du territoire national.
« Depuis Dimbokro, tirs groupés sur les irréductibles » du PDCI, fait observer le quotidien Le Jour Plus. « Le bilan de Ouattara est largement positif », affirme Henri Konan Bédié dont les propos sont rapportés par ce journal.
« Il n'est pas encore tard, revenez à la maison », ajoute le ministre d'Etat, ministre de l'intérieur et de la sécurité Hamed Bakayoko en s'adressant à ces irréductibles.
« Pluie d'hommages au père de l'Appel de Daoukro » barre en Une Le Patriote, faisant allusion à « Bédié magnifié à Dimbokro ». A cette occasion, le ministre d'Etat Hamed Bakayoko a estimé que Bédié est «unique».
« Votre Appel, préserve le PDCI d'une guerre de succession », estime Jeannot Ahoussou Kouadio, quand Albert Toikeusse Mabri, rappelle que Bédié a été de « tous les combats ».
A la Une de Soir info, Jeannot Ahoussou Kouadio charge les «irréductibles » du PDCI. « Vous êtes des sorciers », dit-il, là où, le camp Essy Amara affirme depuis Bouaké que « l'alternance…, c'est faux ». Dans les colonnes de Fraternité Matin, M. Ahoussou Kouadio dénonce de « faux prophètes » et les « alliances bizarres avec les pires ennemis du PDCI ».
L'Inter, ouvre ses colonnes aux irréductibles du PDCI qui se déchaînent. « Sans Gbagbo, pas de réconciliation », soutient Bertin Konan Kouadio dit KKB. Les pros-Essy cognent fort depuis Bouaké, ajoute ce quotidien.
«Bédié préserve le PDCI d'une guerre de succession prématurée », déclare Jeannot Ahoussou Kouadio à la Une de Le Nouveau Réveil. « Je ne suis qu'un bucheron pour mon pays », estime M. Bédié lui-même dans les colonnes de ce quotidien.
Pour le ministre d'Etat Albert Toikeusse Mabri, « Bédié est le meilleur des disciples d'Houphouët ». « Je regrette de n'avoir pas compris Bédié très tôt », estime pour sa part le ministre d'Etat Hamed Bakayoko. « L'alternance est le gage du partage », ajoute-t-il, ce qui fait dire à L'Expression que « pour la succession de Ouattara en 2020, Hamed Bakayoko, met fin au débat ».
L'Intelligent d'Abidjan a constaté de son côté, une «grande mobilisation pour un hommage retentissant à Bédié ». Selon Nord Sud Quotidien, le Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) « appelle Banny, Essy et KKB à la raison ». « Ne vous alliez pas au diable» , conseille Jeannot Ahoussou Kouadio, quand le ministre d'Etat Hamed Bakayoko lance : « revenez à la maison, il n'est pas tard ».
LG infos évoque en Une, l'inéligibilité d'Alassane Ouattara à la prochaine élection présidentielle ivoirienne. A ce propos, Justin Koua avertit. « Si Ouattara est candidat, nous prenons la rue », prévient-il ajoutant que « le FPI (Front populaire ivoirien) est de retour pour le combat».
A la Une de Le Quotidien d'Abidjan, le ministre sénégalais Dansoko explose. « C'est la France qui voulait se débarrasser de Gbagbo », soutient M. Dansoko selon qui « mon ami (Gbagbo) a le moral ».
«Présidentielle 2015/ Ballet incessant à la Haye, l'agenda de visite de Gbagbo bouclé», affiche en Une Le Temps, soulignant que la Cour pénale internationale (CPI) est «débordée». « On va de l'avant avec Gbagbo », estime Justin Koua. Avant l'élection présidentielle de 2015, Notre Voie, estime que « Ouattara étrangle le privé ».
LS
« Depuis Dimbokro, tirs groupés sur les irréductibles » du PDCI, fait observer le quotidien Le Jour Plus. « Le bilan de Ouattara est largement positif », affirme Henri Konan Bédié dont les propos sont rapportés par ce journal.
« Il n'est pas encore tard, revenez à la maison », ajoute le ministre d'Etat, ministre de l'intérieur et de la sécurité Hamed Bakayoko en s'adressant à ces irréductibles.
« Pluie d'hommages au père de l'Appel de Daoukro » barre en Une Le Patriote, faisant allusion à « Bédié magnifié à Dimbokro ». A cette occasion, le ministre d'Etat Hamed Bakayoko a estimé que Bédié est «unique».
« Votre Appel, préserve le PDCI d'une guerre de succession », estime Jeannot Ahoussou Kouadio, quand Albert Toikeusse Mabri, rappelle que Bédié a été de « tous les combats ».
A la Une de Soir info, Jeannot Ahoussou Kouadio charge les «irréductibles » du PDCI. « Vous êtes des sorciers », dit-il, là où, le camp Essy Amara affirme depuis Bouaké que « l'alternance…, c'est faux ». Dans les colonnes de Fraternité Matin, M. Ahoussou Kouadio dénonce de « faux prophètes » et les « alliances bizarres avec les pires ennemis du PDCI ».
L'Inter, ouvre ses colonnes aux irréductibles du PDCI qui se déchaînent. « Sans Gbagbo, pas de réconciliation », soutient Bertin Konan Kouadio dit KKB. Les pros-Essy cognent fort depuis Bouaké, ajoute ce quotidien.
«Bédié préserve le PDCI d'une guerre de succession prématurée », déclare Jeannot Ahoussou Kouadio à la Une de Le Nouveau Réveil. « Je ne suis qu'un bucheron pour mon pays », estime M. Bédié lui-même dans les colonnes de ce quotidien.
Pour le ministre d'Etat Albert Toikeusse Mabri, « Bédié est le meilleur des disciples d'Houphouët ». « Je regrette de n'avoir pas compris Bédié très tôt », estime pour sa part le ministre d'Etat Hamed Bakayoko. « L'alternance est le gage du partage », ajoute-t-il, ce qui fait dire à L'Expression que « pour la succession de Ouattara en 2020, Hamed Bakayoko, met fin au débat ».
L'Intelligent d'Abidjan a constaté de son côté, une «grande mobilisation pour un hommage retentissant à Bédié ». Selon Nord Sud Quotidien, le Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) « appelle Banny, Essy et KKB à la raison ». « Ne vous alliez pas au diable» , conseille Jeannot Ahoussou Kouadio, quand le ministre d'Etat Hamed Bakayoko lance : « revenez à la maison, il n'est pas tard ».
LG infos évoque en Une, l'inéligibilité d'Alassane Ouattara à la prochaine élection présidentielle ivoirienne. A ce propos, Justin Koua avertit. « Si Ouattara est candidat, nous prenons la rue », prévient-il ajoutant que « le FPI (Front populaire ivoirien) est de retour pour le combat».
A la Une de Le Quotidien d'Abidjan, le ministre sénégalais Dansoko explose. « C'est la France qui voulait se débarrasser de Gbagbo », soutient M. Dansoko selon qui « mon ami (Gbagbo) a le moral ».
«Présidentielle 2015/ Ballet incessant à la Haye, l'agenda de visite de Gbagbo bouclé», affiche en Une Le Temps, soulignant que la Cour pénale internationale (CPI) est «débordée». « On va de l'avant avec Gbagbo », estime Justin Koua. Avant l'élection présidentielle de 2015, Notre Voie, estime que « Ouattara étrangle le privé ».
LS