Une centaine d’ex-enseignants volontaires ont bruyamment manifesté, lundi, à Bouaké (379 Km au nord d’Abidjan), en fermant à la circulation le corridor sud de la ville pendant près d’une heure, pour réclamer leur réinsertion dans la vie sociale, a constaté APA sur place dans la grande métropole du nord.
‘'Nous avons fermé le corridor sud à la circulation parce que nous les enseignants volontaires non intégrés avons mené plusieurs démarches pour avoir une solution à notre problème sans suite favorable'' a déclaré, Robert Koné, le Coordonnateur des enseignants volontaires non intégrés de Côte d'Ivoire (CVNCI).
Puis a-t-il poursuivi, ‘'nous avons touché toutes les autorités, personnes ne veut nous écouter, même le préfet de région dit que notre affaire le dépasse.''
‘'Pourtant à la suite d'un séminaire que nous avons eu à Yamoussoukro avec les autorités en charge de notre dossier, il était dit que nous serions prises en compte dans le processus DDR, jusque là rien'' a déploré M. Koné, ajoutant que, ‘'pourtant quand la crise militaro-politique a éclaté en 2002, nous avons pris la craie pour sauver l'école dans les ex-zones des forces nouvelles, évitant ainsi un génocide intellectuel des enfants restés sur place''.
Il a exhorté les autorités ivoiriennes à prendre en compte leur intégration dans le processus DDR en cours dans le pays. Sur les 12 000 enseignants volontaires que comptait le pays, environ 7000 parmi eux qui remplissaient les critères de recrutement (diplômes académiques requis et dont l'âge n'excédait pas moins de 40 ans) ont été intégrés.
Selon quelques 5000 ex-enseignants volontaires non intégrés, la promesse leur a été faite pour dire qu'ils seraient pris en compte dans le processus global de réinsertion en cours dans le pays.
CK/ls/APA
‘'Nous avons fermé le corridor sud à la circulation parce que nous les enseignants volontaires non intégrés avons mené plusieurs démarches pour avoir une solution à notre problème sans suite favorable'' a déclaré, Robert Koné, le Coordonnateur des enseignants volontaires non intégrés de Côte d'Ivoire (CVNCI).
Puis a-t-il poursuivi, ‘'nous avons touché toutes les autorités, personnes ne veut nous écouter, même le préfet de région dit que notre affaire le dépasse.''
‘'Pourtant à la suite d'un séminaire que nous avons eu à Yamoussoukro avec les autorités en charge de notre dossier, il était dit que nous serions prises en compte dans le processus DDR, jusque là rien'' a déploré M. Koné, ajoutant que, ‘'pourtant quand la crise militaro-politique a éclaté en 2002, nous avons pris la craie pour sauver l'école dans les ex-zones des forces nouvelles, évitant ainsi un génocide intellectuel des enfants restés sur place''.
Il a exhorté les autorités ivoiriennes à prendre en compte leur intégration dans le processus DDR en cours dans le pays. Sur les 12 000 enseignants volontaires que comptait le pays, environ 7000 parmi eux qui remplissaient les critères de recrutement (diplômes académiques requis et dont l'âge n'excédait pas moins de 40 ans) ont été intégrés.
Selon quelques 5000 ex-enseignants volontaires non intégrés, la promesse leur a été faite pour dire qu'ils seraient pris en compte dans le processus global de réinsertion en cours dans le pays.
CK/ls/APA