Abidjan – Le Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, estime que l'adhésion de l'Algérie à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) est "incontournable".
"Si aujourd'hui la plus grande majorité des pays ont adhéré à l'OMC, pourquoi est-ce que l'Algérie ne fasse pas partie de cette organisation ?", s’est interrogé lundi à Alger le Premier ministre, dans un discours à l'ouverture des travaux de la conférence nationale sur le commerce extérieur qui se tient sur deux jours.
En janvier dernier, le ministre du Commerce, Amara Benyounes, avait déclaré que le 13e round des négociations multilatérales pour l'accession de l'Algérie à l'OMC était prévu pour le premier trimestre de l’année, rappelle l’agence de presse Chine Nouvelle (Xinhua), dans une dépêche publiée lundi.
Selon lui, cette réunion sera "décisive dans la mesure où elle permettra à l'Algérie de se fixer sur la date de son accession à l'OMC".
L’adhésion de l’Algérie à l’OMC ne fait pas l'unanimité au sein de la classe politique nationale, puisqu'elle compromettrait la politique sociale menée par le pays et contribuerait à fragiliser davantage un tissu économique mal en point, selon les opposants à cette décision.
(AIP)
cmas
"Si aujourd'hui la plus grande majorité des pays ont adhéré à l'OMC, pourquoi est-ce que l'Algérie ne fasse pas partie de cette organisation ?", s’est interrogé lundi à Alger le Premier ministre, dans un discours à l'ouverture des travaux de la conférence nationale sur le commerce extérieur qui se tient sur deux jours.
En janvier dernier, le ministre du Commerce, Amara Benyounes, avait déclaré que le 13e round des négociations multilatérales pour l'accession de l'Algérie à l'OMC était prévu pour le premier trimestre de l’année, rappelle l’agence de presse Chine Nouvelle (Xinhua), dans une dépêche publiée lundi.
Selon lui, cette réunion sera "décisive dans la mesure où elle permettra à l'Algérie de se fixer sur la date de son accession à l'OMC".
L’adhésion de l’Algérie à l’OMC ne fait pas l'unanimité au sein de la classe politique nationale, puisqu'elle compromettrait la politique sociale menée par le pays et contribuerait à fragiliser davantage un tissu économique mal en point, selon les opposants à cette décision.
(AIP)
cmas