Abidjan - Les enquêteurs allemands ont révélé, lundi, qu'Andreas Lubitz, le copilote de l'A320 de Germanwings qui a provoqué son crash le 24 mars, avait suivi un traitement pour tendances suicidaires dans le passé.
Le procureur de Düsseldorf, Ralf Herrenbrück, a affirmé que ce traitement avait eu lieu "avant l'obtention de son permis de pilotage".
"Jusqu'à récemment, d'autres consultations chez des spécialistes de neurologie et de psychiatrie ont eu lieu, donnant lieu à des arrêts maladie, mais sans que soient attestées des tendances suicidaires ou de l'agressivité à l'égard d'autrui", a déclaré Ralf Herrenbrück à la presse.
Copilote d’un Airbus A320 de la compagnie Germanwings reliant Düsseldorf (Allemagne) à Barcelone (Espagne), Andreas Lubitz a volontairement causé le crash de l’avion, il y a une semaine, dans l’Est de la France.
D’après les résultats de la première boite noire d’enregistrement des voix, le copilote avait refusé d’ouvrir la porte de la cabine au commandant de bord qui s’était absenté momentanément pour se rendre dans les toilettes.
L’Allemand âgé de 28 ans, aux tendances suicidaires, en avait donc profité pour faire crasher l’avion à flanc de montagne, dans les Alpes françaises. Tuant avec lui, les 149 autres personnes à bord de l’avion dont 144 passagers. Il était également bénéficiaire d’un arrêt maladie, le jour des faits.
cmas
Le procureur de Düsseldorf, Ralf Herrenbrück, a affirmé que ce traitement avait eu lieu "avant l'obtention de son permis de pilotage".
"Jusqu'à récemment, d'autres consultations chez des spécialistes de neurologie et de psychiatrie ont eu lieu, donnant lieu à des arrêts maladie, mais sans que soient attestées des tendances suicidaires ou de l'agressivité à l'égard d'autrui", a déclaré Ralf Herrenbrück à la presse.
Copilote d’un Airbus A320 de la compagnie Germanwings reliant Düsseldorf (Allemagne) à Barcelone (Espagne), Andreas Lubitz a volontairement causé le crash de l’avion, il y a une semaine, dans l’Est de la France.
D’après les résultats de la première boite noire d’enregistrement des voix, le copilote avait refusé d’ouvrir la porte de la cabine au commandant de bord qui s’était absenté momentanément pour se rendre dans les toilettes.
L’Allemand âgé de 28 ans, aux tendances suicidaires, en avait donc profité pour faire crasher l’avion à flanc de montagne, dans les Alpes françaises. Tuant avec lui, les 149 autres personnes à bord de l’avion dont 144 passagers. Il était également bénéficiaire d’un arrêt maladie, le jour des faits.
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