Abidjan - Un séisme de magnitude 7,5 s’est produit au large des côtes de Papouasie-Nouvelle Guinée, lundi, rapporte l’Institut géologique américain (USGS).
«En fonction des paramètres préliminaires du séisme, […] des vagues de tsunami dangereuses sont possibles pour les côtes situées dans un rayon de 1 000 kilomètres autour de l’épicentre», a estimé le Centre d’alerte aux tsunamis du Pacifique.
Ce risque de tsunami devait se limiter à la Papouasie-Nouvelle-Guinée, avec des vagues d’un à trois mètres. Des vagues plus petites de moins de 30 centimètres étaient possibles ailleurs dans le Pacifique, en Australie, au Japon, aux Philippines, en Nouvelle-Calédonie notamment.
La terre a tremblé à une profondeur de 33 kilomètres, à 55 kilomètres de la ville la plus proche, Kokopo, sur l’île de Nouvelle-Bretagne, et à 787 kilomètres de la capitale Port Moresby, ont précisé les sismologues américains.
La secousse initiale, d’abord mesurée à 7,7, a été suivie d’une réplique de magnitude 5,7 dans le même secteur.
La ville la plus proche de l’épicentre, Kokopo, capitale de la province de Nouvelle-Bretagne orientale, compte environ 20 000 habitants.
Les tremblements de terre sont fréquents en Papouasie-Nouvelle-Guinée, située sur la Ceinture de feu du Pacifique, zone où se rencontrent des plaques tectoniques, ce qui produit une fréquente activité sismique et volcanique.
La dernière secousse d’importance ayant touché le territoire s’est produite en décembre dernier lorsqu’un séisme avait fait trembler l’île Bougainville dans l’archipel des Salomons.
En 2013, un séisme de magnitude 8 avait fait dix morts et détruit des centaines d’habitations sur les Salomons.
(AIP)
cmas
«En fonction des paramètres préliminaires du séisme, […] des vagues de tsunami dangereuses sont possibles pour les côtes situées dans un rayon de 1 000 kilomètres autour de l’épicentre», a estimé le Centre d’alerte aux tsunamis du Pacifique.
Ce risque de tsunami devait se limiter à la Papouasie-Nouvelle-Guinée, avec des vagues d’un à trois mètres. Des vagues plus petites de moins de 30 centimètres étaient possibles ailleurs dans le Pacifique, en Australie, au Japon, aux Philippines, en Nouvelle-Calédonie notamment.
La terre a tremblé à une profondeur de 33 kilomètres, à 55 kilomètres de la ville la plus proche, Kokopo, sur l’île de Nouvelle-Bretagne, et à 787 kilomètres de la capitale Port Moresby, ont précisé les sismologues américains.
La secousse initiale, d’abord mesurée à 7,7, a été suivie d’une réplique de magnitude 5,7 dans le même secteur.
La ville la plus proche de l’épicentre, Kokopo, capitale de la province de Nouvelle-Bretagne orientale, compte environ 20 000 habitants.
Les tremblements de terre sont fréquents en Papouasie-Nouvelle-Guinée, située sur la Ceinture de feu du Pacifique, zone où se rencontrent des plaques tectoniques, ce qui produit une fréquente activité sismique et volcanique.
La dernière secousse d’importance ayant touché le territoire s’est produite en décembre dernier lorsqu’un séisme avait fait trembler l’île Bougainville dans l’archipel des Salomons.
En 2013, un séisme de magnitude 8 avait fait dix morts et détruit des centaines d’habitations sur les Salomons.
(AIP)
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