Abidjan – Le maire UMP, Georges Tron, qui avait annoncé lundi sa candidature dissidente à la présidence de l'Essonne face au candidat officiel de son part, y a renoncé jeudi.
Après l'élection de 4 108 conseillers départementaux les 22 et 29 mars, est venu le temps du troisième tour des élections. Les exécutifs locaux se réunissent pour élire leurs présidents, ce jeudi.
Dans tous les départements concernés par les élections départementales, les assemblées se réunissent pour la première fois ce jeudi et doivent désigner leur président. Dans la soirée, on devrait connaître le nom et la couleur politique de tous les 98 dirigeants d'exécutifs locaux.
Peu avant le vote, Georges Tron a annoncé dans un communiqué qu'il renonçait à se présenter à la présidence de l'Essonne. Favori pendant la campagne, mais renvoyé aux assises dans une affaire de viol, le maire de Draveil avait présenté sa candidature dissidente, lundi, après avoir été écarté par les élus de la droite lors d'un vote interne au profit de François Durovray, maire UMP de Montgeron.
Dans le Tarn-et-Garonne, Jean-Michel Baylet, président (PRG) du département depuis 30 ans, a renoncé à sa candidature. C'est Christian Astruc (sans étiquette) qui le remplace dans le fauteuil de président, mettant fin à 45 ans de règne des Baylet mère et fils dans le département.
L'UMP Maurice Chabert a ravi la présidence du conseil départemental détenue depuis 14 ans par le Parti socialiste, dans un département où le Front national a réalisé un de ses meilleurs scores dimanche dernier.
La socialiste Sophie Pantel a été élue présidente du conseil départemental de la Lozère dès le premier tour par 13 voix contre 9 voix pour l'UMP Alain Astruc, rapporte France 3 Languedoc-Roussillon.
Dimanche dernier, l'UMP et ses alliés ont remporté la majorité dans 66 départements. La gauche qui en détenait 61 jusqu'alors, n'est arrivée en tête que dans 31 départements.
(AIP)
cmas
Après l'élection de 4 108 conseillers départementaux les 22 et 29 mars, est venu le temps du troisième tour des élections. Les exécutifs locaux se réunissent pour élire leurs présidents, ce jeudi.
Dans tous les départements concernés par les élections départementales, les assemblées se réunissent pour la première fois ce jeudi et doivent désigner leur président. Dans la soirée, on devrait connaître le nom et la couleur politique de tous les 98 dirigeants d'exécutifs locaux.
Peu avant le vote, Georges Tron a annoncé dans un communiqué qu'il renonçait à se présenter à la présidence de l'Essonne. Favori pendant la campagne, mais renvoyé aux assises dans une affaire de viol, le maire de Draveil avait présenté sa candidature dissidente, lundi, après avoir été écarté par les élus de la droite lors d'un vote interne au profit de François Durovray, maire UMP de Montgeron.
Dans le Tarn-et-Garonne, Jean-Michel Baylet, président (PRG) du département depuis 30 ans, a renoncé à sa candidature. C'est Christian Astruc (sans étiquette) qui le remplace dans le fauteuil de président, mettant fin à 45 ans de règne des Baylet mère et fils dans le département.
L'UMP Maurice Chabert a ravi la présidence du conseil départemental détenue depuis 14 ans par le Parti socialiste, dans un département où le Front national a réalisé un de ses meilleurs scores dimanche dernier.
La socialiste Sophie Pantel a été élue présidente du conseil départemental de la Lozère dès le premier tour par 13 voix contre 9 voix pour l'UMP Alain Astruc, rapporte France 3 Languedoc-Roussillon.
Dimanche dernier, l'UMP et ses alliés ont remporté la majorité dans 66 départements. La gauche qui en détenait 61 jusqu'alors, n'est arrivée en tête que dans 31 départements.
(AIP)
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