L'Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) est à la recherche de nouvelles sources de financement à travers un fonds dénommé "Facilité régionale d'accès durable (FRAED)", pour l'installation de projets d'énergies renouvelables, avec pour premier objectif une capacité totale installée de 200 mégawatts, annonce un communiqué de l'institution sous-régionale publié mardi à Cotonou.
Selon ce communiqué, publié à l'issue de la réunion du comité de haut niveau sur le bilan de la mise en oeuvre des chantiers de l'initiative régionale pour l'énergie durable, tenue mardi à Cotonou, la dotation initiale de la FRAED est de 50 milliards de francs CFA (100 millions USD), dont une contribution de l'UEMOA s' élèvera à 10 milliards FCFA, soit 20%.
Par ailleurs, indique le communiqué, le Fonds de développement énergie (FDE) est opérationnel et les contributions s'élèvent à 257 milliards 273 millions FCFA (plus de 514 millions USD), dont 7, 215 milliards de contribution de la Belgique.
Ce fonds, poursuit la même source, a financé 11 projets pour un montant d'environ 200 milliards FCFA, en vue de résorber le déficit de l'énergie électrique dans l'espace communautaire.
"Les apports attendus de ces projets sont une offre additionnelle du parc de production de 116 Mégawatts, la construction de 825 lignes électriques", indique le texte.
Selon ce communiqué, publié à l'issue de la réunion du comité de haut niveau sur le bilan de la mise en oeuvre des chantiers de l'initiative régionale pour l'énergie durable, tenue mardi à Cotonou, la dotation initiale de la FRAED est de 50 milliards de francs CFA (100 millions USD), dont une contribution de l'UEMOA s' élèvera à 10 milliards FCFA, soit 20%.
Par ailleurs, indique le communiqué, le Fonds de développement énergie (FDE) est opérationnel et les contributions s'élèvent à 257 milliards 273 millions FCFA (plus de 514 millions USD), dont 7, 215 milliards de contribution de la Belgique.
Ce fonds, poursuit la même source, a financé 11 projets pour un montant d'environ 200 milliards FCFA, en vue de résorber le déficit de l'énergie électrique dans l'espace communautaire.
"Les apports attendus de ces projets sont une offre additionnelle du parc de production de 116 Mégawatts, la construction de 825 lignes électriques", indique le texte.