Abidjan - Le Syndicat National des Agents de la Presse Privée de Côte d’Ivoire (SYNAPP-CI) condamne les agressions de plusieurs journalistes ivoiriens survenues en moins d’un mois à Abidjan.
En effet, l’ex-présentateur télé à la RTI, Hermann Aboa, le journaliste-reporter du quotidien Le Temps, Bamba Mafoumgbé, le reporter du quotidien Le Nouveau Courrier, Emmanuel Akani et une assistante de l’agence Panapress ont été violentés par des forces de l’ordre.
"Attaché à son engagement pour une presse libre, le SYNAPPCI ne saurait se taire face à de tels actes de violence exercées sur des journalistes, dans l’exercice de leur métier. C’est pourquoi, le Syndicat National des Agents de la Presse Privée de Côte d’Ivoire tient officiellement à condamner avec vigueur, ces agressions et violences de quelque nature que ce soit", a écrit le Secrétaire général, Guillaume T. Gbato dans une déclaration dont l’AIP a reçue copie mercredi.
Il a déploré la montée de violence contre les journalistes et l’implication régulière des éléments de la garde présidentielle dans ces actes et rappelé aux gardes du corps et autres éléments de sécurité, que les journalistes sont dans leur rôle de relayer les messages, discours et autres déclarations des autorités. "Il s’agit donc de citoyens au travail et non de vulgaires bandits à qui il faut passer des menottes ou sur qui il faut pointer une arme", a précisé M. Gbato.
Le SYNAPPCI encourage le Président Alassane Ouattara, à faire en sorte que sa volonté de mettre tout en œuvre pour une presse libre en Côte d’Ivoire, exprimée en 2014, lors de la cérémonie de présentation des vœux du nouvel an au monde des médias soit traduite dans les faits et que les responsables des actes d’agression délibérés contre les journalistes soient identifiés et sévèrement sanctionnés", a-t-il exhorté.
M Gbato a conclu en rappelant aux journalistes et professionnels des médias, la nécessité de rester professionnels dans la recherche, la collecte et le traitement de l’information. Il les a encouragé à demeurer solidaires et fermes dans la défense de la liberté de la presse et de leur propre sécurité, partout où ils se trouvent.
ik/kam
En effet, l’ex-présentateur télé à la RTI, Hermann Aboa, le journaliste-reporter du quotidien Le Temps, Bamba Mafoumgbé, le reporter du quotidien Le Nouveau Courrier, Emmanuel Akani et une assistante de l’agence Panapress ont été violentés par des forces de l’ordre.
"Attaché à son engagement pour une presse libre, le SYNAPPCI ne saurait se taire face à de tels actes de violence exercées sur des journalistes, dans l’exercice de leur métier. C’est pourquoi, le Syndicat National des Agents de la Presse Privée de Côte d’Ivoire tient officiellement à condamner avec vigueur, ces agressions et violences de quelque nature que ce soit", a écrit le Secrétaire général, Guillaume T. Gbato dans une déclaration dont l’AIP a reçue copie mercredi.
Il a déploré la montée de violence contre les journalistes et l’implication régulière des éléments de la garde présidentielle dans ces actes et rappelé aux gardes du corps et autres éléments de sécurité, que les journalistes sont dans leur rôle de relayer les messages, discours et autres déclarations des autorités. "Il s’agit donc de citoyens au travail et non de vulgaires bandits à qui il faut passer des menottes ou sur qui il faut pointer une arme", a précisé M. Gbato.
Le SYNAPPCI encourage le Président Alassane Ouattara, à faire en sorte que sa volonté de mettre tout en œuvre pour une presse libre en Côte d’Ivoire, exprimée en 2014, lors de la cérémonie de présentation des vœux du nouvel an au monde des médias soit traduite dans les faits et que les responsables des actes d’agression délibérés contre les journalistes soient identifiés et sévèrement sanctionnés", a-t-il exhorté.
M Gbato a conclu en rappelant aux journalistes et professionnels des médias, la nécessité de rester professionnels dans la recherche, la collecte et le traitement de l’information. Il les a encouragé à demeurer solidaires et fermes dans la défense de la liberté de la presse et de leur propre sécurité, partout où ils se trouvent.
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