Abidjan – L’Union pour un mouvement populaire (UMP, droite française) s’apprête à changer d’identité au mois de mai, pour devenir Les Républicains.
Tout a débuté avec l'UNR de Charles de Gaulle. Puis, il y eut l'UDR de Georges Pompidou, auquel le RPR et l'UMP de Jacques Chirac ont succédé. Depuis 1947, le parti gaulliste a eu cinq noms. Le 6ème sera officialisé le 30 mai prochain, lors du congrès du parti de Nicolas Sarkozy et ce sera Les Républicains.
"Je suis de ceux qui n'aiment pas trop les sigles. C'est une façon de tourner la page", confie à France 3 Nathalie Kosciusko-Morizet, la vice-présidente du premier parti d’opposition.
"Ce n'est pas un enterrement", renchérit le sénateur Roger Karoutchi, qui espère que ce changement permettra de "lancer pour de bon la campagne des régionales et la campagne jusqu'en 2017".
Ce changement ne coûtera pas plus de 50 000 euros, jure pour sa part Daniel Fasquelle, le trésorier de l'UMP qui s'affaire déjà à brader les produits siglés UMP.
Pour Alexandre Hurel, spécialiste du naming (création de nom de marque), "la République, c'est simple, c'est rassurant. Peut-être que Nicolas Sarkozy essaye de montrer que son parti transcende les clivages politiques actuels".
(AIP)
cmas
Tout a débuté avec l'UNR de Charles de Gaulle. Puis, il y eut l'UDR de Georges Pompidou, auquel le RPR et l'UMP de Jacques Chirac ont succédé. Depuis 1947, le parti gaulliste a eu cinq noms. Le 6ème sera officialisé le 30 mai prochain, lors du congrès du parti de Nicolas Sarkozy et ce sera Les Républicains.
"Je suis de ceux qui n'aiment pas trop les sigles. C'est une façon de tourner la page", confie à France 3 Nathalie Kosciusko-Morizet, la vice-présidente du premier parti d’opposition.
"Ce n'est pas un enterrement", renchérit le sénateur Roger Karoutchi, qui espère que ce changement permettra de "lancer pour de bon la campagne des régionales et la campagne jusqu'en 2017".
Ce changement ne coûtera pas plus de 50 000 euros, jure pour sa part Daniel Fasquelle, le trésorier de l'UMP qui s'affaire déjà à brader les produits siglés UMP.
Pour Alexandre Hurel, spécialiste du naming (création de nom de marque), "la République, c'est simple, c'est rassurant. Peut-être que Nicolas Sarkozy essaye de montrer que son parti transcende les clivages politiques actuels".
(AIP)
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