Ouangolodougou - Les établissements secondaires publics du département de Ouangolodougou observent à nouveau, depuis ce mercredi, un arrêt des cours de 72 heures suite à un mot d’ordre de grève lancé par le Mouvement des syndicats de l’enseignement général, technique et assimilés de Côte d’Ivoire (MSEGTACI), afin d’exiger du gouvernement les promesses faites et demander de meilleures conditions de vie, a constaté l’AIP.
"Il s’agit pour nous de revendiquer de meilleures conditions de travail et de vie, car nous n’avons aucune autre source de revenu en dehors de notre salaire", a affirmé M. Gombleu Rabin, fédéral de la Coordination des enseignants du second degré de Côte d’Ivoire (CES-CI).
Selon le mot d’ordre de grève , dont une copie à été affichée à la salle des professeurs du lycée moderne Alassane Ouattara de Ouangolodougou, ce nouvel arrêt de cours fait suite à la rencontre non satisfaisante de l’ensemble des syndicats du secteur éducation/formation avec le ministre de l’Education nationale et de l’enseignement technique ( MENET), le 25 mars et qui a vu certaines revendications occultées et limitées au seul point de déblocage des avancements.
Les enseignants et assimilés de Côte d’Ivoire décident donc de boycotter les travaux de fin de trimestre et de semestre, de retenir les notes des évaluations et des moyennes et d’observer un arrêt de travail de 72 heures à compter du mercredi jusqu’au vendredi, pour exiger une plate forme revendicatrice résumée en 15 points, souligne le mot d’ordre.
Après dix jours d’arrêt, les cours avaient repris depuis le 26 mars dans les établissements secondaires publics du département de Ouangolodougou, rappelle-t-on.
ck/tad/akn/kam
"Il s’agit pour nous de revendiquer de meilleures conditions de travail et de vie, car nous n’avons aucune autre source de revenu en dehors de notre salaire", a affirmé M. Gombleu Rabin, fédéral de la Coordination des enseignants du second degré de Côte d’Ivoire (CES-CI).
Selon le mot d’ordre de grève , dont une copie à été affichée à la salle des professeurs du lycée moderne Alassane Ouattara de Ouangolodougou, ce nouvel arrêt de cours fait suite à la rencontre non satisfaisante de l’ensemble des syndicats du secteur éducation/formation avec le ministre de l’Education nationale et de l’enseignement technique ( MENET), le 25 mars et qui a vu certaines revendications occultées et limitées au seul point de déblocage des avancements.
Les enseignants et assimilés de Côte d’Ivoire décident donc de boycotter les travaux de fin de trimestre et de semestre, de retenir les notes des évaluations et des moyennes et d’observer un arrêt de travail de 72 heures à compter du mercredi jusqu’au vendredi, pour exiger une plate forme revendicatrice résumée en 15 points, souligne le mot d’ordre.
Après dix jours d’arrêt, les cours avaient repris depuis le 26 mars dans les établissements secondaires publics du département de Ouangolodougou, rappelle-t-on.
ck/tad/akn/kam