Touba - Le lycée Gouverneur Abdoulaye Fadiga (LGAF) de Touba est fermé depuis jeudi pour cause de grève des enseignants qui disent protester ainsi contre des ponctions sur leurs salaires.
"Les ponctions sur les salaires partent de 150.000 FCFA à plus de 200.000 FCFA pour quatre jours de grève. Ces ponctions démesurées ont entrainé la colère des enseignants et l’arrêt illimité des cours", a expliqué Karamoko Yahaya, secrétaire de la section du syndicat des enseignants du second degré de Côte d'Ivoire (SYNESCI) du Lycée GAF, souhaitant que le dialogue soit privilégié pour sauver l’année scolaire 2014-2015.
Au dire des enseignants de cet établissement, leurs collègues du centre de formation professionnelle (CFP) de Touba qui ont pourtant fait la grève, n’ont pas subi de ponctions sur leurs salaires.
"Nos collègues des collèges moderne de Ouaninou et municipal de Koro ont subi également des ponctions salariales. Ne soyons pas surpris que ces établissements ferment dès le lundi 27 avril, si une solution immédiate n’est pas trouvée", a fait savoir Gondi Patrice, professeur de français au lycée GAF, qui soutient avoir subi une ponction de 180.000 FCFA sur son salaire.
(AIP)
Dm/tad/ask
"Les ponctions sur les salaires partent de 150.000 FCFA à plus de 200.000 FCFA pour quatre jours de grève. Ces ponctions démesurées ont entrainé la colère des enseignants et l’arrêt illimité des cours", a expliqué Karamoko Yahaya, secrétaire de la section du syndicat des enseignants du second degré de Côte d'Ivoire (SYNESCI) du Lycée GAF, souhaitant que le dialogue soit privilégié pour sauver l’année scolaire 2014-2015.
Au dire des enseignants de cet établissement, leurs collègues du centre de formation professionnelle (CFP) de Touba qui ont pourtant fait la grève, n’ont pas subi de ponctions sur leurs salaires.
"Nos collègues des collèges moderne de Ouaninou et municipal de Koro ont subi également des ponctions salariales. Ne soyons pas surpris que ces établissements ferment dès le lundi 27 avril, si une solution immédiate n’est pas trouvée", a fait savoir Gondi Patrice, professeur de français au lycée GAF, qui soutient avoir subi une ponction de 180.000 FCFA sur son salaire.
(AIP)
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