Daoukro - Les épreuves physiques et sportives (EPS) du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) débutées lundi sur toute l’étendue du territoire national, sont perturbées à Daoukro par une grève du syndicat national des enseignants d’éducation physique et des sports de Côte d’Ivoire (SYNEEPCI), a constaté l’AIP.
Les enseignants membres de ce syndicat protestent contre la "promesse non tenue" par l’Etat quant aux revendications portant sur le règlement définitif de la question de l’examen de titularisation, la licence, imposé aux professeurs certifiés d’EPS des lycées et collèges (titulaires du CAPEPS) et la "réparation de l’injustice" faite à plusieurs professeurs d’EPS de collège toujours au grade B3.
Ceux-ci auraient été omis par le reclassement de novembre 2009 qui devait les reclasser en A3.
Selon le secrétaire général pour la région de l’Iffou, Déli Doge Hermann, la question du reclassement avait été déjà réglée par l'ex- ministre de la Fonction publique et de la reforme administrative, Gnamien Konan qui avait pris un arrêté, n° 165 du 29 mars 2013. Il s’étonne que rien n’ait été fait à ce jour concernant sa mise en application.
"On nous demande de payer des sommes par ici et par là pour la constitution de nos dossiers, nous considérons ceci comme une arnaque", a accusé le responsable régional de ce syndicat, qui dit attendre de l’Etat une "oreille attentive" à leurs doléances.
(AIP)
ca/fmo/ask
Les enseignants membres de ce syndicat protestent contre la "promesse non tenue" par l’Etat quant aux revendications portant sur le règlement définitif de la question de l’examen de titularisation, la licence, imposé aux professeurs certifiés d’EPS des lycées et collèges (titulaires du CAPEPS) et la "réparation de l’injustice" faite à plusieurs professeurs d’EPS de collège toujours au grade B3.
Ceux-ci auraient été omis par le reclassement de novembre 2009 qui devait les reclasser en A3.
Selon le secrétaire général pour la région de l’Iffou, Déli Doge Hermann, la question du reclassement avait été déjà réglée par l'ex- ministre de la Fonction publique et de la reforme administrative, Gnamien Konan qui avait pris un arrêté, n° 165 du 29 mars 2013. Il s’étonne que rien n’ait été fait à ce jour concernant sa mise en application.
"On nous demande de payer des sommes par ici et par là pour la constitution de nos dossiers, nous considérons ceci comme une arnaque", a accusé le responsable régional de ce syndicat, qui dit attendre de l’Etat une "oreille attentive" à leurs doléances.
(AIP)
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