Bonoua - Quinze centres d’alphabétisation sont fonctionnels dans les sous-préfectures de Bonoua et de Bongo pour le compte de l’année scolaire 2014-2015 avec un effectif de 587 apprenants (jeunes et adultes) régulièrement inscrits, a annoncé jeudi le coordonnateur des activités du Service d’alphabétisation et d’enseignement non formel (SAENF) de l’Inspection de l’enseignement primaire de Bonoua.
Selon M. Ayékou Léonard, ce sont 230 hommes et 357 femmes qui fréquentent dans 11 centres d’alphabétisation pour adultes et quatre autres destinés aux enfants.
Ces centres, a-t-il expliqué, ont été créés par neuf promoteurs dont la plupart sont des personnes privées, des organisations non gouvernementales et des organisations confessionnelles à qui l’Etat de Côte d’Ivoire a cédé ce pan particulier de ses devoirs réguliers relatifs au droit de l’éducation de tous.
Ces 15 centres, a ajouté le coordonnateur, sont tenus par 20 animateurs chargés des enseignements, soulignant que la création d’un centre d’alphabétisation est soumis à certaines conditions, notamment la constitution d’un dossier par le promoteur et soumis à validation par le SAENF de l’IEP.
M. Ayékou Léonard a fait savoir que le SAENF a à charge d’apprendre à lire et à écrire à tous ceux qui n’ont pas eu la chance de fréquenter une école classique d’enseignement.
Ainsi, certains enfants encadrés et formés par des centres d’alphabétisation réussissent à s’intégrer une école primaire pour poursuivre le cursus scolaire normal. C’est souvent le cas des enfants des écoles communautaires franco-arabes, selon M. Ayékou qui a évoqué quelques difficultés rencontrées par les SAENF de l’IEP de Bonoua et qui ont pour nom insuffisance de personnel et manque de moyens de locomotion pour suivre et encadrer les centres d’alphabétisation situés dans les villes et villages de Bonoua et de Bongo.
(AIP
ASL/kp
Selon M. Ayékou Léonard, ce sont 230 hommes et 357 femmes qui fréquentent dans 11 centres d’alphabétisation pour adultes et quatre autres destinés aux enfants.
Ces centres, a-t-il expliqué, ont été créés par neuf promoteurs dont la plupart sont des personnes privées, des organisations non gouvernementales et des organisations confessionnelles à qui l’Etat de Côte d’Ivoire a cédé ce pan particulier de ses devoirs réguliers relatifs au droit de l’éducation de tous.
Ces 15 centres, a ajouté le coordonnateur, sont tenus par 20 animateurs chargés des enseignements, soulignant que la création d’un centre d’alphabétisation est soumis à certaines conditions, notamment la constitution d’un dossier par le promoteur et soumis à validation par le SAENF de l’IEP.
M. Ayékou Léonard a fait savoir que le SAENF a à charge d’apprendre à lire et à écrire à tous ceux qui n’ont pas eu la chance de fréquenter une école classique d’enseignement.
Ainsi, certains enfants encadrés et formés par des centres d’alphabétisation réussissent à s’intégrer une école primaire pour poursuivre le cursus scolaire normal. C’est souvent le cas des enfants des écoles communautaires franco-arabes, selon M. Ayékou qui a évoqué quelques difficultés rencontrées par les SAENF de l’IEP de Bonoua et qui ont pour nom insuffisance de personnel et manque de moyens de locomotion pour suivre et encadrer les centres d’alphabétisation situés dans les villes et villages de Bonoua et de Bongo.
(AIP
ASL/kp