San Pedro – Réunis en atelier bilan de jeudi à samedi à San Pedro, les acteurs du projet d’appui à l’amélioration de l’accès aux droits et à la justice en Côte d’Ivoire (PALAJ) ont souhaité que l’Etat ivoirien s’implique davantage dans la gestion de ce projet et veille à sa pérennisation après les financements extérieurs.
Le préfet de région de San Pedro, Ousmane Coulibaly, le représentant de l’ONUCI, Agodé Roger, l’assistant technique de l’Union européenne auprès du ministère de la Justice, François Lebur, et la directrice nationale du PALAJ, Fatoumata Diabaté, ont jugé satisfaisants les résultats des cliniques juridiques, au regard des services rendus et de l’adhésion qu’ils suscitent de plus en plus auprès des populations.
Mme Fatoumata Diabaté a souhaité que le ministère de la Justice, des Droits de l’homme et des Libertés publiques parvienne à "institutionnaliser les cliniques juridiques à travers la prise d’un arrêté ministériel qui aurait pour but d’accorder une reconnaissance officielle aux cliniques juridiques et faciliter leurs contacts avec les autorités administratives et judiciaires".
Selon François Lebur, les partenaires du projet demandent avec insistance à l’Etat ivoirien d’aller au-delà de la simple supervision du projet pour s’impliquer graduellement, à partir de son budget national, dans le financement des cliniques juridiques parce qu’il s’agit, a-t-il souligné, d’un service public qui est offert aux populations, à savoir l’accès au droit et à la justice.
PALAJ 1 arrivant à échéance en mai 2015, le projet va continuer dans une seconde phase de deux ans, grâce à un financement de partenaires extérieurs qui vont permettre l’ouverture de trois nouveaux centres d’informations juridiques à Daloa, Abengourou et à Katiola.
Jmk/kp
Le préfet de région de San Pedro, Ousmane Coulibaly, le représentant de l’ONUCI, Agodé Roger, l’assistant technique de l’Union européenne auprès du ministère de la Justice, François Lebur, et la directrice nationale du PALAJ, Fatoumata Diabaté, ont jugé satisfaisants les résultats des cliniques juridiques, au regard des services rendus et de l’adhésion qu’ils suscitent de plus en plus auprès des populations.
Mme Fatoumata Diabaté a souhaité que le ministère de la Justice, des Droits de l’homme et des Libertés publiques parvienne à "institutionnaliser les cliniques juridiques à travers la prise d’un arrêté ministériel qui aurait pour but d’accorder une reconnaissance officielle aux cliniques juridiques et faciliter leurs contacts avec les autorités administratives et judiciaires".
Selon François Lebur, les partenaires du projet demandent avec insistance à l’Etat ivoirien d’aller au-delà de la simple supervision du projet pour s’impliquer graduellement, à partir de son budget national, dans le financement des cliniques juridiques parce qu’il s’agit, a-t-il souligné, d’un service public qui est offert aux populations, à savoir l’accès au droit et à la justice.
PALAJ 1 arrivant à échéance en mai 2015, le projet va continuer dans une seconde phase de deux ans, grâce à un financement de partenaires extérieurs qui vont permettre l’ouverture de trois nouveaux centres d’informations juridiques à Daloa, Abengourou et à Katiola.
Jmk/kp
